B el-Ami
Il faut qu’il y ait un B dans
l’histoire. Bébé étant déjà pris (par Baptiste — et ON NE REMPLACE PAS Baptiste) et Boris étant pour Boris (d’Ambly) (irremplaçable aussi) (d'Ambly étant déjà un pseudo), ce sera
(peut-être) Bel-Ami, le surnom de cette histoire… Je lis, du coup, le synopsis
du roman de Guy de Maupassant sur Wikipédia, ça ne ressemble pas du tout — mais
pas du tout — à comme je l’imagine, le nouveau venu, mais — qui sait ?... Quelqu’un lit le roman et j’aime bien comment c’est lu — pour une fois. C’est lu d’une
manière naïve, mais… au moins, on y est… dans ce Paris désuet, vivant et idiot…
Je voudrais continuer d’écouter cette personne qui me lit ce roman — où il
y a quelqu’un qui ressemble à Boris (mais que nous
nommerons désormais Bel-Ami). Je l’imagine, Bel-Ami, au début de son roman et à qui il arrivera plein
d’aventures… Il est pauvre encore... Ça a toujours été des séries, mes amours… Là, c’est les B. Mais il
y a eu les A. Annabelle, Anne, Jeanne… Il y a eu les Thomas aussi,
envahissants. Il y en avait partout. Ils grimpaient sur les murs, je ne savais
plus où les mettre. (Mon psy s’appelait Thomas, ça en faisait certainement déjà un bon paquet
à lui tout seul.)
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