Il y a la mise en jeu de qqch
à la place de soi. De la pierre, du vent, de l’air, de l’eau (de l’eau à voir
et à boire), de la végétation, de la terre, de la route. Le garçon plat qui
t’accompagne — comme le chemin qui se déroule sans lui, avec toi. Un échange
(de bons procédés), tu déverses et la mer déverse. Auparavant, un échange. Le
soir, dans ta caravane (qui n’est pas la tienne, mais qui a l’électricité
gratuite —
pourquoi ? — parce qu’on
a mis une corde de guitare dans le compteur, le compteur à l’ancienne), il est
bon de vivre
un peu
en retrait
« L’amour
Tendre comme un aigle il
plonge
Lavant tous nos visages avec
sa langue rêche.
Enchaîné à un rocher et dans
ce rocher, nus,
Tous les visages. »
« L’amour VII
Rien dans le rocher n’entend
rien
La pierre, vide comme une
tasse de thé, cherche pour le réconfort,
Le ciel est rempli
d’étoiles :
Les figures en cire de
Ganymède, Prométhée, Eros
Suspendues. »
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