Friday, January 03, 2014

O blativité


Ce qui est moi et ce qui s’effrite.
Les poèmes d’Arthur Rimbaud tels que je les conçois. Je les écris comme je le veux. (Dans l’ineffable moire de l’été.)

Ils se sont mis des vêtements et des couvertures et des fourrures. Vous avez tous les mots, ils s’effacent. Ils créent.

Bouts de mur, bouts de stupre, bouts de stupeur… (les agrès.) Rêves et songes et trépassements. Là, dans la réalité, qq’un se lève, qq’un s’éveille.
« Madre generosa ! »
Le héros ne meurt jamais. Il est plus beau à la fin du film. Le faux et le vrai des herbes.
Toujours le vent du songe et les poudres… Je suis arrivé au bout.

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