Voilà l’état où ça me
met ! « Tout cela ne vaut pas le poison qui découle / De tes
yeux, de tes yeux verts ». D’ailleurs, si quelques-unes pouvaient aider Isabelle
demain soir à servir le champagne et à gérer les listes d’attente, les
réservations… Jusque là, c’était pépère, on regardait même pas qui avait
réservé, tout le monde entrait (et pouvait même parfois s’allonger pour mieux
rêver), mais les temps ont changé — regret, nostalgie —, le festival semble
enfin vouloir commencer... Bon, fait encore un froid glacial, on se croirait à
Trouville, mais, enfin, le monde est là, le monde y est, on peut pas dire qu'il n'y soit pas, c’est
la fête…
Et, moi, habitué à vivre comme
un vampire…
Labels: avignon
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