De toute façon, nous n’y pouvons plus rien. Les miettes, ne te verrai-je plus d’ici dix ans, tu m’en as laissées assez, de ton empreinte, pour me tenir lieu d’un amour le plus entier, le plus dévastateur (certes pour moi). Et ce n’est pas en lisant Marcel Proust que je vais me calmer, à presque chaque ligne il parle de toi : « pouvoir émigrer un moment dans les rares parties de lui-même restées presque étrangères à son amour, à son chagrin »
Oui, je me contredis, je parle d’amitié et d’amour fou. C’est ça qui ne va pas…
Labels: correspondance
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