Sunday, September 11, 2016

A utobio retouchée par Isabelle (donc officielle)


Yves-Noël Genod ne se présente lui-même que comme un « distributeur » de poésie et de lumière. Un « dispariteur »  (nom de son association). Pour certains il s'agirait d'un « théâtre de l’invitation », d'un « théâtre chorégraphié ». C'est en tout cas un théâtre qui veut faire de la place. Créateur de chimères, d’inconnu, d’irréel... il a pourtant le sentiment de n’inventer jamais aucun spectacle qui n’existe déjà. Il fait passer le furet : « Passé par ici, il repassera par là… ». La révolution, c'est la redistribution des richesses. Ce comédien — donc ce  menteur — prétend s’effacer derrière une œuvre qu’il désire n’être que trace infime, mais dans l’optique pascalienne : « Nul ne meurt si pauvre qu’il ne laisse quelque chose ».

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