U n roman, résumé
« Silence bourgeois de feutre, de velours et de bonne éducation. »
« Je dois dire que je n’ai jamais connu d’aussi beaux crépuscules. L’été n’en finissait pas de mourir. Les avenues désertes. Paris absent. »
« Ma fatigue rongeait, comme un rat, tout ce qui m’entourait. »
« On finit par trouver naturelle la disparition des choses. »
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