Beneath the sea
Les mesures de l’effacement
Les étoiles décisionnaires.
Les soulagements.
Les soulagements sont des sensations corporelles, bien sûr, heureuses, cachées car heureuses. En un soupir. Soupir de soulagement. J’ai vu tant de gens, tant de choses. « Tant de gens, tant de choses », répété-je en pensant à d’autres mots. Mais les mots importent peu. Même ici. (Ici dans ce désert blanc, ce désert de neige.) Les mots sont dans une langue étrangère, en parler est déjà trop. C’est la langue de la conscience qui soulage, langue de la conscience et body language.
Un cœur extérieur
Un mot suffit à exploser une phrase. De la compréhension. Un mot inconnu suffit parfois pour que la phrase soit incompréhensible, disparaisse de la compréhension, explose. Attention, ne nous méprenons pas, je parle positivement ici. Le long parc, le grand parc dort dans le brouillard à cette heure – ou dort-il ? Que n’a-t-on écrit sur ce parc ? Que n’a-t-on pas écrit ? Les chemises blanches, la sagesse. Des images de celluloïd. Des images restaurées.
Sourire sableux. « Sabre » ? « Scabreux » ? – Non, comme du sable, les images ne vous viennent donc jamais ? La cathédrale de Reims, comme du sable.
She gives me flowers, but she loves me not.
Mother, you are on the planet earth. Mère, tu es sur la planète terre. La planète terre.
Matin sans couleur avec brouillard.
Beneath the sea
Le luxe calme d’être enfin à la maison. De nouveau une chambre with fenêtre, de nouveau une chambre with armoire à glace, with ventilateur, with lit de glace, with fraîcheur, with miroir with tableaux. De nouveau le silence – impressionnant, celui du dimanche soir. Demain la ville entière se remettra au travail. Et je serai de nouveau seul – seul à admirer cette ville de l’extérieur, de l’extérieur de son cœur. Amen.
Ignorant and innocent.
Lurching each second between joy and horror.
Dimanche 7 septembre 2008.
Les étoiles décisionnaires.
Les soulagements.
Les soulagements sont des sensations corporelles, bien sûr, heureuses, cachées car heureuses. En un soupir. Soupir de soulagement. J’ai vu tant de gens, tant de choses. « Tant de gens, tant de choses », répété-je en pensant à d’autres mots. Mais les mots importent peu. Même ici. (Ici dans ce désert blanc, ce désert de neige.) Les mots sont dans une langue étrangère, en parler est déjà trop. C’est la langue de la conscience qui soulage, langue de la conscience et body language.
Un cœur extérieur
Un mot suffit à exploser une phrase. De la compréhension. Un mot inconnu suffit parfois pour que la phrase soit incompréhensible, disparaisse de la compréhension, explose. Attention, ne nous méprenons pas, je parle positivement ici. Le long parc, le grand parc dort dans le brouillard à cette heure – ou dort-il ? Que n’a-t-on écrit sur ce parc ? Que n’a-t-on pas écrit ? Les chemises blanches, la sagesse. Des images de celluloïd. Des images restaurées.
Sourire sableux. « Sabre » ? « Scabreux » ? – Non, comme du sable, les images ne vous viennent donc jamais ? La cathédrale de Reims, comme du sable.
She gives me flowers, but she loves me not.
Mother, you are on the planet earth. Mère, tu es sur la planète terre. La planète terre.
Matin sans couleur avec brouillard.
Beneath the sea
Le luxe calme d’être enfin à la maison. De nouveau une chambre with fenêtre, de nouveau une chambre with armoire à glace, with ventilateur, with lit de glace, with fraîcheur, with miroir with tableaux. De nouveau le silence – impressionnant, celui du dimanche soir. Demain la ville entière se remettra au travail. Et je serai de nouveau seul – seul à admirer cette ville de l’extérieur, de l’extérieur de son cœur. Amen.
Ignorant and innocent.
Lurching each second between joy and horror.
Dimanche 7 septembre 2008.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home