Wednesday, December 24, 2008

Conte de Noël

Chanter et puis rire... Laissons le divertissement nous envahir...
« J’écris comme je vis, je crois. », dit Pierre. « Vécu ou imaginé. » Il m’explique la simplicité en écho. Et la littérature mélo... J’ai connu Duras, j’tenais à vous dire, là. À vous dire aujourd’hui. Il parle des rencontres de chair qui le trouvent toujours disponible avant les rencontres de pierre (monuments, statues) dans des villes étrangères (et fabuleuses). Il parle de son ami, Renato, qui lui fait écho au plus proche. C’est incroyable comme on peut sentir quelqu’un à travers des mots juste déposés, il est vrai sur cet objet de l’intimité, l’ordinateur (plus qu’un livre). Ce n'est d'ailleurs pas question d’actualité. Le texte que je lis date d’avril. Mais c’est un ange. La sensibilité, c’est la chair, c’est la photographie. Femmes, hommes ont des sueurs différentes...






24 déc. 08 (cliquer sur le titre).

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