Estando ya mi casa sosegada
Je continue de lire – et de ne pas écrire. J’ai appelé Hélèna, je lui ai laissé un message en miaou – je me demandais si j’allais la rejoindre ou non, tant qu’elle ne me répond pas, c’est réglé. Je n’appelle pas Pierre que je n’appelle jamais, de ce côté, c’est réglé aussi. (Et puis Pierre a d’autres chats à fouetter.) Je me retrouve encore – et dans la joie – seul ! Plus seul que Christine Angot (en mettant c’nom-là, je perds la totalité de mes lecteurs restants – à part Hélèna et Pierre – ne restent donc qu’Hélèna et Pierre, couple impossible).
Bon, je vais arrêter de dire que l’homosexualité est une maladie (là aussi, je perds des lecteurs), disons que l’homosexualité était ma maladie (à peine plus acceptable, je sais bien…) Il y a des choses qui se soignent, c’est ça que j’appelle des maladies, être suicidaire, ça se soigne, c’est même plus facile que l’homosexualité puisque que c’est vital, c’est plus nécessaire, l’homosexualité, comme nous savons, nous pouvons vivre avec. Très bien.
J’aime les blogs – je veux dire : en général – pour soulager un peu la machine. J’aime, par exemple, celui de Christophe Atabekian, beaucoup. Pas que celui de Pierre, non, non. Si Hélèna faisait un blog, j’adorerais – mais elle n’a pas l’temps. Je regrette que tous mes amis n’en fassent pas. C’est vrai qu’on ne s’en sort pas. Et Internet, j’aime Internet ! On y trouve de tels poèmes - comme celui que recopie Pierre sur le mot « emballer » – quel beau poème !
Les planètes s’allument quand mon ordinateur décroche. Les riches ruches des abeilles.
Les planètes rondes et pas tout à fait, les taches dans le ciel et, partout répandues, la couleur, la matière comme des pierres non serties… La traduction littérale est parfois source de beauté.
« La main gauche de l’aube », « la liqueur de la vie » – ne sont que des exemples. Si Dieu condescend à faire de la littérature… Je suis pris par la réalité à cause du dehors…
« Un temps viendra, prophétise Jorge Luis Borges, – et j’espère qu’il est proche – où les hommes n’auront souci que de la beauté et non des éléments circonstanciels de la beauté. »
http://xacha.livejournal.com/
http://guarantyofsanity.hautetfort.com/
Bon, je vais arrêter de dire que l’homosexualité est une maladie (là aussi, je perds des lecteurs), disons que l’homosexualité était ma maladie (à peine plus acceptable, je sais bien…) Il y a des choses qui se soignent, c’est ça que j’appelle des maladies, être suicidaire, ça se soigne, c’est même plus facile que l’homosexualité puisque que c’est vital, c’est plus nécessaire, l’homosexualité, comme nous savons, nous pouvons vivre avec. Très bien.
J’aime les blogs – je veux dire : en général – pour soulager un peu la machine. J’aime, par exemple, celui de Christophe Atabekian, beaucoup. Pas que celui de Pierre, non, non. Si Hélèna faisait un blog, j’adorerais – mais elle n’a pas l’temps. Je regrette que tous mes amis n’en fassent pas. C’est vrai qu’on ne s’en sort pas. Et Internet, j’aime Internet ! On y trouve de tels poèmes - comme celui que recopie Pierre sur le mot « emballer » – quel beau poème !
Les planètes s’allument quand mon ordinateur décroche. Les riches ruches des abeilles.
Les planètes rondes et pas tout à fait, les taches dans le ciel et, partout répandues, la couleur, la matière comme des pierres non serties… La traduction littérale est parfois source de beauté.
« La main gauche de l’aube », « la liqueur de la vie » – ne sont que des exemples. Si Dieu condescend à faire de la littérature… Je suis pris par la réalité à cause du dehors…
« Un temps viendra, prophétise Jorge Luis Borges, – et j’espère qu’il est proche – où les hommes n’auront souci que de la beauté et non des éléments circonstanciels de la beauté. »
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Labels: pierre hélèna borges
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