Friday, January 02, 2009

Le livre d’occasion

Lire pour rire.
Il y a le secret. Le secret-dépense.



« Moi ? j’étais la main ! simplement : la main ! »

Mirrors in metal. The endless continuity.
The long siestas.

Des livres le long du livre.

« C’est en absorbant la poésie comme un alcool que je suis arrivé à une conclusion définitive à son propos. »

« Nous passons à la poésie, nous passons à la vie. Car la vie, j’en suis convaincu, est faite de poésie. La poésie n’est pas étrangère à la vie, la poésie, comme nous allons le voir, nous attend au coin de la rue. Elle peut nous sauter dessus n’importe quand. (…) Mais les livres ne sont qu’occasions de poésie. (…) Si le bon lecteur se présente, les mots – ou plutôt la poésie qui est derrière les mots, car les mots eux-mêmes ne sont que des symboles – reprennent vie et nous assistons à une résurrection du verbe. (…) Car les œuvres parfaites en poésie ne paraissent pas étranges, elles paraissent inévitables. »

Too precious you.

« Je pense que la première lecture d’un poème est la seule authentique, et qu’ensuite nous nous berçons de l’illusion que cette première impression se répète. (…) Ainsi pourrait-on dire que chaque fois, la poésie est une expérience nouvelle. »

L’art advient chaque fois…

L’émotion, l’émotion de la chair de la lecture…

Bernard Shaw : « Je crois que le Saint-Esprit a écrit non seulement la Bible, mais tous les livres. » Le Saint-Esprit dont le temple est le cœur pur des hommes. « Un livre est occasion de beauté. »

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