The Third Reason

Première image : un citron laissé sur la nappe.
Puis un slip à lui sur le rebord de la machine à laver (un slip à lui, le slip cartoon).
Ça, c’était debout.
Avant c’était Baudelaire, l’image de la jaquette et ces mots (quatrième de couverture) : « les choses renaissent du papier ».
Avant c’était les images du rêve très fourni, paysages, ville, se perdre, étranger, avec une Hélène, la merde aussi… théâtre, ascenseur…
Avant, quelques pages de Cercle, ce roman qui hier sonnait un peu faux (mais, si on le lit vite, on brûle la naïveté et au réveil…)
Avant, c’était les vitraux remplis de soleil, image qui n’a pas laissé prise à l’angoisse, j’ai pensé quand même qu’il faudrait que je fasse les vitres…
Avant c’était Pierre, le souvenir, la question de Pierre, le calme, l’apaisement dans lequel me laisse Pierre.
Il y avait aussi des pensées de ce qu’avait dit Pierre la veille, les titres de livres, Tropismes, que Désert était imprimé en trop petit (mais c’était Cercle qu’il avait pourtant à la main).

Et la réponse à quelques mails.

Et puis maintenant :
« Yvno chéri as-tu un numéro et le prénom de la personne qui nous aime bien à Gennevilliers pour avoir des invit ? »
Hélène.