Saturday, April 04, 2009

Rien n’est fragile, rien n’est difficile. Eh bien, disons… avec Pierre je suis chez moi pour une grande part.

Au moment où comme chaque jour commence le piano, maintenant je crée un grand silence : je me bourre les oreilles de mousse, je n’entends plus – si j’enfonce très profond – ni la ville ni le piano de l’immeuble – ainsi je peux prolonger le jour clair de la lecture…






De la soupe dans la moustache.
Se plaindre en attendant.
Des grands nuages foldingues.

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