Pina Bausch, tribute
cet abandon dans le corps, cette confiance totale dans le mouvement
déforme les images de la perception
magique surtout
la mer... c'est liquide
les jumeaux se sont suicidés
ensemble
ensemble
la tête de la Statue de la Liberté rouverte au public
je suis un corps - c'est à dire que je suis moi - c'est drôle - les petits animaux aussi
le long de la voie
de la promenade
de l'esplanade
près du kiosque
à l'heure d'été
après ou avant manger
de toute façon on dîne pas
l'éternité silencieuse
le cheval gris
non, noir
dans la brume - enfin le brouillard, comme vous voulez
l'hiver-l'été, plutôt l'hiver
le cheval noir dans l'hiver dans la vallée encastrée
avec les mots français, les mots français rocheux
blanc rocheux - de craie, un peu (en quelque sorte) - tableau noir (déjà plus vraiment noir, mais vert - le mot est resté, l'expression, les années soixante-dix)
qu'est-ce qu'il dit, Shakespeare ?
cet abandon dans le corps, cette confiance totale dans le mouvement
déforme les images de la perception
magique surtout
la mer... c'est liquide
les jumeaux se sont suicidés
ensemble
ensemble
la tête de la Statue de la Liberté rouverte au public
je suis un corps - c'est à dire que je suis moi - c'est drôle - les petits animaux aussi
le long de la voie
de la promenade
de l'esplanade
près du kiosque
à l'heure d'été
après ou avant manger
de toute façon on dîne pas
l'éternité silencieuse
le cheval gris
non, noir
dans la brume - enfin le brouillard, comme vous voulez
l'hiver-l'été, plutôt l'hiver
le cheval noir dans l'hiver dans la vallée encastrée
avec les mots français, les mots français rocheux
blanc rocheux - de craie, un peu (en quelque sorte) - tableau noir (déjà plus vraiment noir, mais vert - le mot est resté, l'expression, les années soixante-dix)
qu'est-ce qu'il dit, Shakespeare ?
cet abandon dans le corps, cette confiance totale dans le mouvement
Labels: poésie
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