Sunday, January 15, 2012

Et puis, dans la deuxième partie, y a le film ¡ Que viva México !, d’Eisenstein




Moi, excusez-moi, je préfère quand on ne comprend pas ce que disent les acteurs (je n’aime pas le « théâtre de texte », en gros) et, là, le rideau s’ouvre à l'Odéon et, merde, déception, ils parlent français ! Du coup, c’est parcours du combattant, parce que y en a beaucoup de morceaux de texte dans la farine ! Evident, pour moi, que si c’était en allemand, comme d’hab’, je serais rentré de plain-pied (dans la pâte, pour continuer la métaphore culinaire). Alors plan luxe pour les fauchés : puisque le théâtre se vide à moitié à l’entracte, venir pour la deuxième partie, à mon sens beaucoup plus n’importe nawak donc magnifique. Ou alors c’est que j’étais si fatigué que j’entendais plus ce qu’ils disaient. En tout cas, la magie a opéré. (La Dame aux camélias, Frank Castorf.)

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