Robin de Courcy
Cher Yves-Noël,
On se connaît toujours aussi peu, ça viendra, peut-être, je viens de voir – je peux / – oui en vidéo, c'est tellement évident, tellement beau, croiser quelques regards, entendre ces phrases, effectivement le plateau est sombre, le chaos y est légion, c'est la vie toute nue que tu amènes sur de vieilles planches cramoisies de représentation difficile à déshabiller, plus désirante, plus cruelle, et, toi, tu laisses tout filer, quel métier tu as, quelles personnes tu aimes !
Merci,
Robin
Labels: correspondance
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