Oh !
Oh, merci,
Gérard,
comme je suis content que tu aies compris mon travail ! Et que tu aies pu en voir les deux moitiés, quelle chance ! C’est fou comme ce que je fais, l’apparition de ces pièces dont je ne sais rien à l’avance est soumis à la torture de la chance. Mais, encore une fois, je ne peux pas me plaindre car je trouve que j’en ai beaucoup ! Si sensible, par exemple, à ceci qui ferme ton article : « Dans cet évidement de la structure, toute présence humaine – le spectateur voisin compris – trouve la texture d'une révélation, apparition et transmutation suspendues hors-cadre, entraînant l'observateur dans une mobilisation sans peur, en totale disponibilité. » Tu aurais voulu me faire plaisir, tu ne t’y serais pas pris autrement ! Je crois que c’est ce qui me touche le plus, de toutes les manières dont on a pu ou dont on pourra parler de mon travail, que cela passe, ça. Je ne m’occupe pas d’autre chose… Ça me fait presque pleurer, tiens !
Je t’embrasse du Mexique où je viens d’ailleurs de me faire masser par une sorcière précolombienne, ce qui rajoute, n’est-ce pas ?, à la véracité de mes larmes
Yves-Noël
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