Desgraciadamente
Je suis couché dans le long
fauteuil de l’ennui
Et dans les marges de mon
café
J’écris comme si la tête
reposée
Un métier difficile, mais
heureux
Le long du peuple des
heureux, des derniers des heureux
Quand pleurent l’absence de
lecteurs, les nuées, les papiers muraux, les
graffiti de l’ombre
Labels: poésie
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