C’était bien de se voir et ce lancement ! Je suis d’accord avec (finalement) Yves-Noël Genod, une comédie française, dans le sens d’un film offensif, qui aille à l’assaut. C’est vrai, ça pourrait être cool d’imiter le Macron, de prendre le pouvoir en un an. Bon, en un film et, nous, ce n’est pas le vrai pouvoir. Mais ce qui me fait horreur jusqu’à maintenant, avec toi m’amuserait. C’est une question de confiance. Tu me parais être l’homme de la situation. Faut prendre le pouvoir, là, de toute façon, c’est l’ambiance. Tout le monde se dit : j’ai un coup à faire. Tout le monde ressent le chaos. Avec plus ou moins d’intelligence de la situation. Mon avantage ? Ma bêtise peut-être plus profonde — comme un puit, comme une ivresse — que la leur…
Valeurs refuges (le théâtre) est bien aussi. (Je relis mes notes.)
« Je n’ai pas de problème avec le luxe », c’est bien aussi. (Il faudrait quand même penser aux costumes… Arnys ?)
Bisous,
Yvno
Labels: correspondance
0 Comments:
Post a Comment
<< Home