Monday, April 20, 2020

Voici encore une version. Je me demande ce qui me déplaît là-dedans. J’ai rajouté des guillemets à « regrette » et à « reflue » et enlevé encore un bout. De toute façon, ce sera publié comme les traces d’un travail (de conversation) sans fixité, faudrait le comprendre comme ça, j’aimerais bien (avant d’arriver à la chanson). Donc ça peut se publier un peu n’importe comment (puisque tu as compris les principes, c’est-à-dire : en essayant de faire une métrique visuelle, comme des vers visuels, quand on le peut, d’exactement la même longueur, et puis justement alors casser ce principe, et puis égrener les lettres quand on le peut, ce qui permet de ralentir la lecture et de rendre un peu floues, confuses, mystérieuses, des choses qui ne le sont certes pas !) Je ne suis pas écrivain. Je le sais parce que, quand je fais valider un texte à un ami, la première version est toujours considérée comme meilleure que les suivantes. Donc quand j’écris ces poèmes, j’essaye de me placer dans une première version, de ne pas retoucher (interdit) et n’avoir la possibilité que de changer la ponctuation et, surtout, la seule chose : enlever. Voilà, c’est la règle. A bientôt, 
YN


Maintenant… 
Maintenant que je « regrett
e » 
Maintenant que je « reflue »…
Je voulais dire le mot, mais le mot sort autre — existe-t-il ? — au bord d’une autre langue. Paris m’a brûlé les yeux tout à l’heure
cette communauté… 
Il faudrait lire à cha
que pas la pierre et
les vivants : et tout 
se cache
« Premier Noël sans Notre-Dame », j’ai lu dans une gare inventée pour l’hiver
La tour aussi, j'ai pensé
je me suis souvenu que 
je me suis longtemps demandé si le temps passé 
allait faire 
la tour Montparnasse devenir belle 
J’ai mangé, j’ai bu, j’ai 
cu. Tout est sacré, les 
aménagements nouve
aux

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