Hier, c’était la Saint-Valentin et, en attendant l’heure de ma séance chez la kiné (qui joue un peu, en ce moment, le rôle — alternativement tenu — de ma psy), j’ai regardé dans la rue une jolie image tout en me demandant si l’époque n’était pas en train de changer (elle change toujours) puisque ça faisait longtemps que je n’avais pas vu de sous-vêtements dentelle exposés comme ça à la portée des enfants (pas fini)
(reprise) Ça me rappelait que, du temps que j’étais hétéro, j’adorais déchiqueter les p'tites culottes en dentelle, ça m’excitait, j’en offrais aussi beaucoup. Est-ce que l’époque (d’un puritanisme criard) a changé ? Pas à ce signe. En regardant plus attentivement et en m’approchant de ma rêverie (comme aurait dit Mallarmé), je remarquai que cette jeune femme ne portait pas de poils, pas un gazon de territoire, mais, plus grave, ne présentait pas non plus de fente, comme une poupée Barbie ou un clone mannequin de vitrine… A propos, si nous nous étions interrompus tout à l’heure, c’est que le RER B arrivait à Cité Universitaire, là-même où je prévoyais de voir— et je l’ai vu — le spectacle extra de Christine Armanger, extraordinairement folle, et de Philippe Gladieux à la lumière, littéralement co-auteur de la splendeur comme il l’était dans tous mes spectacles. Le spectacle est sublimissime, inoubliable. A ne pas louper ! Il se joue encore le 17, à 20h30, et j’y serais retourné si je n’allais pas demain à la campagne m’occuper de ma pauvre mère. Allez-y voir de la VRAIE BEAUTÉ SEXUÉE, vous m’en donnerez des nouvelles !
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