« Tant de mains pour transformer ce monde, et si peu de regards pour le contempler ! »
« « Pourquoi la littérature respire mal », expliquait Julien Gracq en 1960. L'écrivain appelait alors de ses vœux une littérature du « oui » pour contrer la montée en puissance de celle du « non », définie par son indifférence au monde et son repli narcissique sur elle-même. »
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