Monday, September 29, 2008

The negative shadow

Il y a des fenêtres prises dans la forêt. Coq. Comment Rimbaud, ne pas – Et pour tout. Et Verlaine. Les populations disparues. Dans la rue. La rue-la mort. Tout le grillage en vrai de la lumière qui tourne-qui flotte-qui décide de l’île. Et Tieck. Romantique de pur sang. Les gros lapins tout doux. Pelucheux. Et marcher vers la vie. Les rues s’offrent dans des directions diverses (cardinales). De partout, le soleil. La lumière lape, limpide. Bain de lumière comme « se baigner » – à Berlin ! C’est malin (Thomas) que tu m’aies demandé conseil sur les îles, maintenant je mets des îles partout ! C’est ici la ville et c’est ici l’île !






Le monde de l’ombre. Les devantures brillent. La nuit magique une seconde. Évidemment Bach ou ce genre... La nouvelle langue explore un nouvel amour qui est le même, mais inconnu. (Sans respiration.) Un être humain beau, un peu beau, plus beau... Un riz aux cerises, délicieux. Le port de tête. Le passé a surgi et il l’a mangé encore une fois. Un ogre-et tout se passe par la bouche. La bouche d’égout. Il n’y a qu’un moyen pour moi de rencontrer des garçons, c’est le théâtre. Il n’y a que ce moyen pour que ça se passe bien... L’ombre négative.







À un instant T. Un couple d’hommes. L’exemple d’un couple d’hommes. Le monde autour de lui sera vide et c’est ainsi. Pluie de froid, pluie de vent, pluie de douceur. Tout est installé.

« La fanfare tournant, l’ancienne inharmonie… »
« Quel fut ton plus beau jour ? » fit sa voix d'or vivant... »

Et l’enfance dont on se souvient d’abord comme une énigme. Premier amour. Teintes pastel et encre noire.






29 sept 08.

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