Tuesday, September 30, 2008

My Last Porn Film

Quand on écrit « je » pour une histoire d’amour. Le comble du « poétiquement correct ». Parfois j’essaie de faire une pile, mais la pile ne tarde pas à s’effondrer.

La pauvreté n’est pas un refuge. La banlieue est un trésor. Nuit de lumière, matinée champêtre. Too much. Not enough, too much. Noch nicht.

Un vieux cheval borgne efflanqué qui ressemble à Don Quichotte et un petit Sancho Pança tout con et tout cambré. – Quel couple ! – Un couple de foire.

Avec amour, tu me manques. L’ambition m’empêche de dormir. Mes rêves sont éveillés. Je n’ai même plus besoin de les raconter. Le mur vertical de la lumière.

Is it the real size of the knife ? …more room to you and more room to me… That woman I mentioned… Elle est absente.

Elle est absente par la fenêtre, dans l’air vert et la lumière de plume. Ses cheveux me manquent à la barrière. Le miroir. She put a naked finger in the flame.

I said : « Take it off ! » « Why ? » « Retrouver l’air. » « La musique de source. » « Le champ sonore. » Quelques pas, pensait-il, auraient dû suffire.

Elle mit son doigt dans la flamme. Élégance et science, élégance et violence. The queen should wear a T-shirt. Ennui, apathy, somnolence. (Le vin.

Avec le vin…) (Ou la bière.) Oui, improviser. Oui et sans préparation. Bien sûr et pourquoi pas ? Faut-il encore en avoir le talent ! Et le don ! My party experience.

Vent frémissant. Enfin : le corps ! Je vous remercie, voisin. Ladies and Gentlemen… Will Self ! (Some new life form will be generated.)







29, 30 sept 08.

Labels:

0 Comments:

Post a Comment

<< Home