Thursday, December 11, 2008

Les galets, fils des déluges

Il faut que la littérature donne, donne comme la vie. Et ce n’est pas impossible. Et je ne me trompe pas. Je me trompe, je ne me trompe pas. C’est par lumière, c’est par modestie. C’est la forêt-park, je ne sais pas quel rayon de la roue de vélo. Avec enthousiasme. Et avec enthousiasme. Pour vivre cachés, vivons heureux

Et ça avance ensemble. Ensemble. Comme au déluge. Les livres secs. Près du lit – les livres secours non ouverts. Non ouverts. Livres ramassés. Près du lit. Du lit

Bien sûr il faut savoir écrire. Bien sûr il faut savoir jouer. C’est même pas sûr. Il y a les spécialistes (de la rue de la littérature), les heureux spécialistes. Ce n’est pas parce qu’on balaie à Berlin que les rues sont propres à Paris…
Thomas Geelber va encore me parler des galets fruits du cœur

J’ai pas d’mari
Qu’est-ce qu’on va faire ?
Dormir
On n’a pas photographié la Ménagerie

Où est-il ?
Encore…


Et mon sourire imparfait
La pierre orange, le cœur éclairé
Le profil chahuté
L’aluminium, le ciment, la chimie
Ou encore le papier







11 déc. 08.

Tout – en référence à quelque chose qui est tout, tout ce qui peut se dire... Peut-on écrire de tout ? Oui, mais pas avec n'importe qui : http://guarantyofsanity.hautetfort.com/

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