Et moi j’ai délibéré en mon cœur de traîner ma chair dans le vin
Percevoir le désir même comme une éponge
Et les vertes ronces cachent les lézards
Un chagrin d’amour ? Comment faire pour s’en sortir
Et moi j’ai délibéré en mon cœur de traîner ma chair dans le vin
L’amour est seul
Et voilà, deux cinglés d’plus dans la nature !
Le cheval dans la grand-ville, l’autoroute, Tolstoï
Le cheval galope – c’est un vrai cheval – dans l’église
Jour – nuit – jour – nuit – jour – nuit
Quelques cygnes blancs bien poivrés
La Descendance…
6, 7, 9 déc. 08.
Tout : en référence, depuis maintenant, à un blog exemplaire : http://guarantyofsanity.hautetfort.com/
Et les vertes ronces cachent les lézards
Un chagrin d’amour ? Comment faire pour s’en sortir
Et moi j’ai délibéré en mon cœur de traîner ma chair dans le vin
L’amour est seul
Et voilà, deux cinglés d’plus dans la nature !
Le cheval dans la grand-ville, l’autoroute, Tolstoï
Le cheval galope – c’est un vrai cheval – dans l’église
Jour – nuit – jour – nuit – jour – nuit
Quelques cygnes blancs bien poivrés
La Descendance…
6, 7, 9 déc. 08.
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Labels: poésie yves-noël dispariteur
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