Blood and Oil
TGV roule visuellement dans la nuit sans liquide.
J’ai bu le cocktail « Blood and sand », au Palace, le préféré de Rudolf Valentino.
J’ai vu enfin la sale tête du type qui parlait très fort pendant des heures d’accès handicapés, de revêtements pour les bars, de je ne sais quoi, de faire des travaux sans fin, même avec les boules « Quies », je me demandais quand il allait se coucher.
J’ai trié les photos, mais je n’ai pas fini, il y en a tant, je ne pensais pas qu’il y en avait tant de réussies, heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, c’est trop facile de réussir des photos.
J’ai toujours à manger.
Et la rose arrivera jusqu’à Paris.
« On a bien avancé », dit le type dont la voix est moins forte (comme souvent dans un couple).
Il reparle encore de la porte des chiottes, comment l’autre type, celui à la voix plus faible, ne lui met pas son poing dans la gueule ?
Alors, ça, c’est la meilleure, y a Jean-Luc Mélenchon dans le wagon, le même qu’à la télé, mais moins violent, il parle à une femme qui prend des notes, lui aussi est en première, c’est vrai, à part les deux cons, c’est plus calme, show-business, show-business, nous sommes le show-business, comment est-ce possible, il était encore au « Petit Journal » yesterday.
J’aime les cygnes, j’ai trouvé encore une photo de cygne, c’est lié à Philippe Tlokinski.
« C’est trop tôt pour que vous engagiez des gens pour la construction… », dit le brave type, oui, c’est trop tôt et il fait nuit (on va pas commencer ça maintenant).
Tout le monde travaille dans ces TGVs, à rien, comme Jean-Luc Mélanchon.
J’aime les canards aussi, c’est plus lié à Claude Régy (ils ont pas de cou).
Ils parlent maintenant de la « marina d’Tanger », très excité, le fou, un « Bouddha bar », « J’y dis : j’peux vous faire le Bouddha bar ici. », « Bouddha bar, Bouddha beach », « Quelles sont les conditions, ils veulent louer ? » « La s’maine prochaine, le fils du Saoudien va venir. » « Moi, j’pensais que c’était un peut tôt pour faire un Bouddha bar à Tanger… », comme c’est facile de jouer, dans la vie, les cons, ils jouent tellement mal, on se crève le cul à élever le débat, mais y a qu’à faire du boulevard, c’est comme ça qu’ils jouent, les gars.
A l’arrivée, quelqu’un me dit : « Oh, t’es magnifique ! » (sans agressivité) et je le crois.
J’ai bu le cocktail « Blood and sand », au Palace, le préféré de Rudolf Valentino.
J’ai vu enfin la sale tête du type qui parlait très fort pendant des heures d’accès handicapés, de revêtements pour les bars, de je ne sais quoi, de faire des travaux sans fin, même avec les boules « Quies », je me demandais quand il allait se coucher.
J’ai trié les photos, mais je n’ai pas fini, il y en a tant, je ne pensais pas qu’il y en avait tant de réussies, heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, c’est trop facile de réussir des photos.
J’ai toujours à manger.
Et la rose arrivera jusqu’à Paris.
« On a bien avancé », dit le type dont la voix est moins forte (comme souvent dans un couple).
Il reparle encore de la porte des chiottes, comment l’autre type, celui à la voix plus faible, ne lui met pas son poing dans la gueule ?
Alors, ça, c’est la meilleure, y a Jean-Luc Mélenchon dans le wagon, le même qu’à la télé, mais moins violent, il parle à une femme qui prend des notes, lui aussi est en première, c’est vrai, à part les deux cons, c’est plus calme, show-business, show-business, nous sommes le show-business, comment est-ce possible, il était encore au « Petit Journal » yesterday.
J’aime les cygnes, j’ai trouvé encore une photo de cygne, c’est lié à Philippe Tlokinski.
« C’est trop tôt pour que vous engagiez des gens pour la construction… », dit le brave type, oui, c’est trop tôt et il fait nuit (on va pas commencer ça maintenant).
Tout le monde travaille dans ces TGVs, à rien, comme Jean-Luc Mélanchon.
J’aime les canards aussi, c’est plus lié à Claude Régy (ils ont pas de cou).
Ils parlent maintenant de la « marina d’Tanger », très excité, le fou, un « Bouddha bar », « J’y dis : j’peux vous faire le Bouddha bar ici. », « Bouddha bar, Bouddha beach », « Quelles sont les conditions, ils veulent louer ? » « La s’maine prochaine, le fils du Saoudien va venir. » « Moi, j’pensais que c’était un peut tôt pour faire un Bouddha bar à Tanger… », comme c’est facile de jouer, dans la vie, les cons, ils jouent tellement mal, on se crève le cul à élever le débat, mais y a qu’à faire du boulevard, c’est comme ça qu’ils jouent, les gars.
A l’arrivée, quelqu’un me dit : « Oh, t’es magnifique ! » (sans agressivité) et je le crois.
Labels: poésie
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