Friday, January 20, 2012

Content de t’imaginer en forme – les signaux Facebook – !

Voici le texte que je te propose. Qu’en dire ? (Que t’en dire ?) Il me semble que ce texte donne ses clés. Je suis donc tombé amoureux, il y a quelque temps, d’une écriture sur un blog – alors que j’étais avec Hélèna Villovitch. Pendant quelque temps, une passion s’est développée de blog à blog. Puis j’ai soudain quitté Hélèna (qui m’avait dit : « Je préférerais que ce soit le contraire, que tu couches avec lui, mais que tu sois amoureux de moi. ») et j’ai rencontré ce garçon qui – je me souviens que j’ai beaucoup dit ça à l’époque – aurait pu être crapaud ou boîte à chaussure, ça n'aurait rien changé… Pierre Courcelle. Nous nous sommes quittés il y a un an et demi, nous sommes toujours très amis. Ça n’a pas été retouché, ce texte (sauf les coquilles qu’on repère à chaque lecture), mais ce n’est plus écrit au tâtonnement du jour le jour : me semble que c’est un livre. C’est-à-dire que c’est une histoire inventée par un auteur omniscient. C’est très curieux, l'effet produit de cette différence de statut. M'a fait ressentir qqch comme cette pensée qui traîne depuis longtemps dans la littérature : ce qui a été vécu ne semble n’avoir été que, afin de, dans le but d’en être écrit. Ou même, plus simple (Colette) : « Tout ce qu’on écrit fini toujours par devenir vrai. »

Tu me dis, chère Liliane, si ça te fait aussi de l’effet. (Ou pas.)

Bises et tous mes vœux de très bonne année et santé !

YNG

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