A cróbata
Mon ami (nouvel et éternel
ami…) Très heureux que tu fasses partie de l’aventure ! J’espère que tu
pourras te libérer (entre le 19 mars et le 12 avril) et que tu supporteras les
conditions financières pour le moins roots de la maison Genod (il est nul à
trouver de l’argent). Tu sais, je repensais à ta question des « emplois »,
le vieillard, le bébé, l’acrobate, l’étudiante aux beaux-arts… comme des
santons de Provence… et je voulais te dire à quel point celui de l’ « acrobate »
me va au cœur — je l’ai découvert il y a 2 ans, au musée d’archéologie de
México : une extraordinaire petite sculpture précolombienne, en terre,
représentant un homme en train de faire probablement un salto, une chose
bouleversante devant laquelle je suis resté longtemps à rêver (à ces milliards
d’années-lumière qui nous séparaient et ce message pourtant si clair), une
sculpture évidemment nommée : « acróbata », dans le cartel, ce mot
que j’adore et cette chose du fond des âges…
A bientôt, quand tu veux !
YN
Labels: correspondance bouffes
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