¿Tienes una cena especial y no sabes qué ponerte?
Avec Dominique, d’un commun
accord, on a annulé notre participation à cette grande soirée mondaine — pour
une raison políticamente correcto ? — Non, parce qu’on n’avait nada qué
ponerse. Bon, nous avons tous 2 — il faut bien l’avouer — des vêtements hors de
prix (elle, surtout Comme des garçons et, moi, surtout Hedi
Slimane), la mode est l’un de nos points communs, mais robe de marquise et
cravate, pas en ce moment, nous regrettons. Je regrette, oui, la cravate, parce
que rien n’est plus beau qu’un homme en cravate ! et Dominique m’a dit
qu’elle avait bien une sorte de robe du soir Yohji Yamamoto qu’elle avait mise au
mariage de Stark (ou fille de, je ne sais plus), mais pas pratique du tout,
quand on s’assoit il y a les cerceaux qui remontent jusqu’à la poitrine. Je
n’ai pas de cravate. Un jour m’habillerai-je en homme pour sortir
Dominique ? Je n’ai pas trouvé chez Solgar le produit qu’on me
conseillait, Omnium, je crois, et j’ai cherché beaucoup — alors, aujourd’hui,
j’ai pris Multi Homme (« multi-vitamines et multi-minéraux spécifiques
pour les hommes »), un comprimido à prendre tous les trece días ! Por qué trece ? No lo sé. C’est
comme ça, faut faire confiance à la nature… Je suis allé chercher chez
Gallimard le Napoléon Bonaparte
que m’offre Pascale Fautrier et j’ai cru remarquer immédiatement dans le portrait
du général Bonaparte par David sur
la cubierta une nette ressemblance avec son fils que j’ai revu à Pantagruel, l’autre soir (il semblait plus s’intéresser au théâtre
de l’Athénée, si beau, c'est vrai, qu’à la pièce puisque, quand je lui ai demandé —
de l’orchestre, lui au balcon — s’il avait aimé, il n’a pas répondu). Près de
la rue Sébastien Bottin, j’ai regardé les prix chez Joël Robuchon
(L’Atelier) : 175, quand même, le menu dégustation. J’y avais amené Anne
2 Sterk. C’était une époque où je pouvais, une époque où j’étais amoureux.
Maintenant, je suis bien un peu amoureux de Boris Grzeszczak, mais de là à jouer
les pédales… (assez, en tout cas, pour avoir appris à écrire correcto su apellido
polaco, n'est-ce pas ?) (que j'écris pour que le lecteur ne confonde pas avec Boris d'Ambly, mon autre ami très sincère).
Labels: paris
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