« C’est un drogué qui écrit ces lignes »
Toujours merveilleux de
lire Jean-Pierre Thibaudat ! (cet écrivain…) Là, il tombe en pamoison
(avec raison) devant les duos de Jeanne et de Bertrand, mais tant — comme un
drogué, dit-il — que, quand ces 2-là disparaissent, il se retrouve, lui, en descente ! (et donc ne supporte
la deuxième partie que par intermittence ou, disons, par distraction). Je le
comprends. Je comprends les passionnés (de l’amour) et je les aime et je
leur veux du bien... surtout s’ils écrivent bien !
Labels: bouffes
0 Comments:
Post a Comment
<< Home