Thursday, December 18, 2014

R ester vivant, livre d'or, 5


Elie Mirdain
J'ai été stupéfait par ta force et l'incarnation « Baudelaire » dans ta voix ! MERCI YVNO !!!... Ah… les nuages, les merveilleux nuages… Vivement quelques nuages ! Au plaisir vrai de te revoir !

Anna Perrin
J'ai passé un bon moment avec moi-même, moi qui arrive si peu à me concentrer. Comme une grosse séance de travail, un brainstorming, après, je suis rentrée écrire, j'ai eu plein d'idées, plein d'envies pendant.
Plein d'images projetées sur ce fond noir.
Des fois complément dedans, des fois totalement au dehors.
Au-dedans une voix, la tienne mais ça devient la mienne ou celle de Baudelaire, je sais plus trop, on y est en tous cas, baigné dans la matière, palpable presque de sa poésie.
Parfois au-dehors, absente, en conversation avec moi-même, plongée dans  du velours sonore parfait pour méditer et créer, on y reste accroché (à ses poèmes ) par des fils sensibles, et des mots, des phrases nous parviennent encore par-ci par-là, une réponse, une piste, que sais-je.
BON MOMENT QUOI
MERCI Cooki.
On se voit bientôt,
Pis c'est quand qu'on retravaille ensemble Yvno ?
Love
Anna W. Perrin
Xxx

Thomas Louis
Je suis ravi de venir vous écouter, vraiment, vous le magicien des plateaux... j'ai tellement aimé nombre de vos spectacles !!!! Vous rendez visible l'invisible, et dissimulez le trop visible, pour le rendre intelligible. C'est une expérience rare, je vous souhaite le meilleur, et vous dis, à samedi dans le noir...

 C'est joli, « dissimuler le visible pour le rendre intelligible »...

Dominique Jeanne Dolores Moni Grego
Vous qui faites ce que vous faites, vous savez ce que vous faites, vous savez -à peu près- où vous êtes dans ce grand chemin du théâtre qui se perd dans l'huile bouillante des guerres (qui inventa tout de même les frites ! ). Molière le disait déjà : Si vous entrez en grâce, prenez immédiatement tout ce que vous pouvez prendre. Ne perdez pas de temps. Battez le fer tant qu’il est chaud. Inventez, créez, dépêchez-vous ! Et… juste avant que le vent tourne, car il tournera, éclipsez-vous sans attendre ou vous serez jetés dehors comme des malpropres. Vous êtes dans un théâtre et vous faites du théâtre profitez-en dans la joie de cela et pleurez oui. C'est beau un homme qui pleure. « Cette même envie de pleurer à chaque fois, devant cette chose qui chemine et qui change, qu’on reconnaît tout de suite et qui n’a jamais exactement la même forme, longue phrase tenue, à travers les temps, à travers les corps différents, ô cette même chose ! Longue, si longue phrase, impossible à achever… oui… »

Julia Palombe
Belle (beau) ou pas, dans le noir je n'ai rien vu. Mais qu'est-ce-que j'ai ressenti! Des flots d'images et de frissons, bien plus que si tout avait été éclairé. Yves-Noël Genod, tu fais briller Baudelaire dans le noir, et ça me plaît.

Alain Herzog
Bonjour Yves-Noël
Juste un mot pour vous dire que j’étais désolé de ne pouvoir attendre plus longtemps hier soir pour que l’on se croise après le spectacle.
Il fallait que je parte et j’étais très frustré de ne pouvoir parler de suite.
Heureusement, dans le métro, j’ai rencontré Pierre Notte à qui j’ai pu dire de suite quel plaisir j’ai trouvé à l’écoute originale de Baudelaire que vous proposez.
Pour être franc, au début on est désespéré à l’idée de passer 2h30 dans le noir et, en fait, tout au long du spectacle on comprend que, pour rester vivant, il faut vous accompagner jusqu’au bout, ce que j’ai fait en passant par toutes les humeurs les plus diversifiées que vous proposez.
Hier soir, j’ai découvert Yves-Noël Genod et redécouvert Baudelaire.
Alors merci et j’espère à bientôt,  
Alain H

Aurélia Arto
Bonsoir, j'étais là à la générale, j'ai effectivement été très émue par la proposition, le texte, par votre présence. J'ai du mal à comprendre qu'un « bide » ait pu avoir lieu. Mais, moi, je vous remercie sincèrement de votre témérité et de votre liberté, elle est contagieuse, je crois, en plus, ce qui est de bonne augure vu la sécheresse. Merci.

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