T on livre
Je ne voulais pas acheter ton livre par peur (que j’ai toujours) de redescendre dans des émotions, des comportements trop usés, mais je l’ai feuilleté chez Colette Kerber et je suis tombé sur des pages si bien écrites, si légères, si magiques, si romanesques, sans lourdeur, sans l’organisation du romanesque (les pages sur le garçon qui voit chez Depardieu de son balcon) qu’elles m’ont accompagné toute cette semaine à Paris indépendamment des autres lectures que je poursuivais et que je suis (bien sûr) finalement retourné chez Colette Kerber prendre le livre aujourd’hui… Ça y est, j’admets donc être tombé en ta religion et je suis sans défenses. Bravo !
Merci
Je me souviens du garçon voyant chez Depardieu
C'est drôle j'y songeais hier
Ton message est très beau !
J'aime (déjà) beaucoup ton livre immense
Merci.
Je suis totalement abattu depuis quelques jours, prenant conscience que j’ai vécu et écrit ça, une sorte de scrupule indescriptible, donc ton mot me fait très plaisir
Ça ! Je suis sidéré de cette entreprise. Une sorte de travail d'Hercule... Tu peux te permettre une petite dépression... Mais, pour nous, lecteurs, maintenant c'est à nous, c'est fort, ça ramasse, par exemple, tout Paris (ce terrain de jeu) et toute la France — et toute cette sorte de vie : l'époque, le passage, la jeunesse, la vitesse, la pérennité... Enfin, évidemment, c'est peu de dire qu'« on s'y reconnaît », mais c'est ça qui est généreux, c'est qu'on s'y reconnaisse tout de suite... comme un film intérieur... rêve-veille
Tu trouves toujours des mots et les mots
Je te souhaite une belle nuit et file vers ma dépression désormais méritée, et son sommeil précoce
(Je t’identifie comme quelqu’un qui vivrait une jeunesse perpétuelle, vive, ça m’étonne presque que tu écrives passage de la jeunesse !)
Labels: paris correspondance
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