The moose is next to me
The moose is next to me
pour Thomas Ferrand
C’est si faible, la faiblesse, si fort, la force… L’étrange et particulier. Than I began to suspect something. Une idée, une impression. Tenons-nous en à l’idée, à l’impression. Le luxe, les instituts. Les massages.
Do you have a fantasy life going ? Do you still fantasize ? On entend des voix, des chants grégoriens (ou juste après), des voix de femmes, des mélanges.
– Oh, Woody ! –
He smashed me in the nose with its fist and flat my nose against ma face completely.
Legalizing marijuana. Le monde du modern age. I have nothing to say. La facilité – mondiale, facile. Les deux sexes fonctionnels. La princesse d’opérette… Et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot.
But they combine – they combine unconsciously together. Les mariages, les fameux marriages. (Je prends quelques notes.)
Il y a dans la musique un château, un opéra. Une queue-de-pie, un quart de queue.
Les nouveaux mots sautent sur les nouvelles lèvres. Sautent, naissent sur les lèvres. « Tears sprang from his eyes. » Les yeux apparaissent des larmes. « A terrible storm sprang up. » (Le ressort des larmes.)
3, 4 oct 2008.
pour Thomas Ferrand
C’est si faible, la faiblesse, si fort, la force… L’étrange et particulier. Than I began to suspect something. Une idée, une impression. Tenons-nous en à l’idée, à l’impression. Le luxe, les instituts. Les massages.
Do you have a fantasy life going ? Do you still fantasize ? On entend des voix, des chants grégoriens (ou juste après), des voix de femmes, des mélanges.
– Oh, Woody ! –
He smashed me in the nose with its fist and flat my nose against ma face completely.
Legalizing marijuana. Le monde du modern age. I have nothing to say. La facilité – mondiale, facile. Les deux sexes fonctionnels. La princesse d’opérette… Et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot.
But they combine – they combine unconsciously together. Les mariages, les fameux marriages. (Je prends quelques notes.)
Il y a dans la musique un château, un opéra. Une queue-de-pie, un quart de queue.
Les nouveaux mots sautent sur les nouvelles lèvres. Sautent, naissent sur les lèvres. « Tears sprang from his eyes. » Les yeux apparaissent des larmes. « A terrible storm sprang up. » (Le ressort des larmes.)
3, 4 oct 2008.
Labels: poésie yves-noël dispariteur
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