Saturday, October 04, 2008

The moose is next to me

The moose is next to me

pour Thomas Ferrand






C’est si faible, la faiblesse, si fort, la force… L’étrange et particulier. Than I began to suspect something. Une idée, une impression. Tenons-nous en à l’idée, à l’impression. Le luxe, les instituts. Les massages.
Do you have a fantasy life going ? Do you still fantasize ? On entend des voix, des chants grégoriens (ou juste après), des voix de femmes, des mélanges.

– Oh, Woody ! –

He smashed me in the nose with its fist and flat my nose against ma face completely.






Legalizing marijuana. Le monde du modern age. I have nothing to say. La facilité – mondiale, facile. Les deux sexes fonctionnels. La princesse d’opérette… Et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot.

But they combine – they combine unconsciously together. Les mariages, les fameux marriages. (Je prends quelques notes.)
Il y a dans la musique un château, un opéra. Une queue-de-pie, un quart de queue.

Les nouveaux mots sautent sur les nouvelles lèvres. Sautent, naissent sur les lèvres. « Tears sprang from his eyes. » Les yeux apparaissent des larmes. « A terrible storm sprang up. » (Le ressort des larmes.)







3, 4 oct 2008.

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