S alut Caro ! Je retrouve dans un recueil de poèmes de Mallarmé une page de carnet. Il y a longtemps j'imagine. Je devais être en psychanalyse pour écrire mes rêves... Bisous
(la poupée de la rôtisserie)
blonde les cheveux égarés
des espaces nets et de façade
le mal qui nous terrasse
les platanes de la promenade
Bulle Ogier, grossie (des pneus), défigurée par les piqûres dans le visage, j'en parle avec une femme qui lui crie : « Bulle, tu as changé de poupée ! » Qu'elle comprend : « Si je veux du thé ? » Jusqu'à ce qu'elle se soit rapprochée et que je lui crie : « Pou–pée ! » Elle joue avec Claude un petit rôle au début d'une pièce, elle est « L'indifférente ». Elle s'en va, l'envie de mourir (Bulle va mal), ce soir-là bâcle sa dernière réplique. Son second [?] l'a quittée. Elle bâcle / dit à mi-voix sa dernière réplique et sort de scène dès qu'elle l'a dite
homosexualité à cacher, audace du dévoilement
on soulève (les torses nus excitent), on lui baisse son pantalon et révèle un beau sexe que je désire
Labels: correspondance
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