Thursday, June 24, 2021

S alut Caro ! Je retrouve dans un recueil de poèmes de Mallarmé une page de carnet. Il y a longtemps j'imagine. Je devais être en psychanalyse pour écrire mes rêves... Bisous


(la poupée de la rôtisserie)


blonde les cheveux égarés



des espaces nets et de façade


       le mal qui nous terrasse


       les platanes de la promenade



Bulle Ogier, grossie (des pneus), défigurée par les piqûres dans le visage, j'en parle avec une femme qui lui crie :  « Bulle, tu as changé de poupée ! » Qu'elle comprend : « Si je veux du thé ? » Jusqu'à ce qu'elle se soit rapprochée et que je lui crie : « Pou–pée ! » Elle joue avec Claude un petit rôle au début d'une pièce, elle est « L'indifférente ». Elle s'en va, l'envie de mourir (Bulle va mal), ce soir-là bâcle sa dernière réplique. Son second [?] l'a quittée. Elle bâcle / dit à mi-voix sa dernière réplique et sort de scène dès qu'elle l'a dite

homosexualité à cacher, audace du dévoilement 

on soulève (les torses nus excitent), on lui baisse son pantalon et révèle un beau sexe que je désire

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