Saturday, October 04, 2008

Les femmes de pouvoir sont des travelos

Les femmes de pouvoir sont des travelos






« You take yourself too seriously. », pourrais-je dire aux étudiantes si j’étais méchant, mais on ne l’est jamais (et tant mieux) car les gens ne comprennent pas la méchanceté. Les gens à qui on s’adresse, en tout cas. Ils ne comprennent pas ou elles ne comprennent pas parce qu’ils et elles se prennent trop au sérieux. (Je fais partie des gens, c’est un fait, Hélèna’s reading.) C’est un coton, une étuve, une étoupe de coton. « You take yourself too seriously to care about what your put on your bag. »

I don’t look back, Ellen.

…And separate bathroom…

This is like a gift from heaven.

Here is the lovely, the charming George Clooney ! Le Californien. Le gazon britannique. Regarder les filles, c’est une paire de gifles. Brigitte Bardot était fabuleuse. La nuit, la nuit liquide griffe au sang… et la nuit, la nuit liquide… C’est à dire elle est blonde, elle est longue, elle existe. On a effacé ce qu’elle disait pour ne laisser que son corps. Body language.

Like an irresolute wave
I go, I go and I come
Between your loins,
I go and I come
Between your loins,
And I retain myself.

(The naked island.) (The physical love has no exit.)







4 oct. 08.

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