Departir (Ballade des contradictions)
Inventer de toutes pièces. La ruine du sommeil. La lumière robot. La croisière des yeux bleus. Les yeux doubles. Les deux yeux. Enfin, les yeux normaux, quoi ! « Con c’qui t’adore » s’étoile dans les deux yeux. La réalité, elle est filmée, mais seulement dans certaines conditions. Mais qui c’est, à l’appareil, là ? Un homme, avec cette joie de la mode…
Et c’est toujours le cas. Le départ du vide.
Le 26 décembre, jour de neige, gouttelettes de vin, de vent…
On a accusé pendant tout un week-end un médecin d’avoir assassiné une vieille dame. …Connues des services et des maraudes…
La longue grève des professeurs. …Et son cortège de brutalités, de famines et d’épidémies… Les diplômes, trop nombreux.
Michel Mouton est le surnom de François Villon qui vient de tuer un homme. Ma mère va « juste au p’tit magasin juste d’à côté ».
La Ballade des contradictions.
Le Débat du cuer et du corps de Villon. Autrement dit Villon.
…Et, l’encre gelée et à court de bougie et de feu… Itinéraire. Disparition…
« Ouhou ! », revient ma mère du p’tit magasin.
Le ciel de frangipane. Il y a les chemins et, au bout, les fermes. Demande-lui s’il a des lunettes de soleil. La rivière d’Ain. La dent Parrachée. Dieu ne peut donner que son amour. C’est une bonne nouvelle, non ? Que l’amour. Pour le reste : incapable, un infirme, il sait même pas ce que c’est. Du coup, créateur de l’univers, ça reste à prouver, l’univers n’a pas l’air d’être créé par amour, mais les astrophysiciens le découvriront peut-être.
Arrière, poussières !... Au large, espèce d’Incas de carnaval !...
Les enfances, les enfances nouvelles.
Tout le monde, tout le monde est illisible.
C’était un gosse qui était fâché avec l’école.
Une question pour le bac : « L’univers a-t-il été créé par amour ? »
25, 26 déc. 08.
Et c’est toujours le cas. Le départ du vide.
Le 26 décembre, jour de neige, gouttelettes de vin, de vent…
On a accusé pendant tout un week-end un médecin d’avoir assassiné une vieille dame. …Connues des services et des maraudes…
La longue grève des professeurs. …Et son cortège de brutalités, de famines et d’épidémies… Les diplômes, trop nombreux.
Michel Mouton est le surnom de François Villon qui vient de tuer un homme. Ma mère va « juste au p’tit magasin juste d’à côté ».
La Ballade des contradictions.
Le Débat du cuer et du corps de Villon. Autrement dit Villon.
…Et, l’encre gelée et à court de bougie et de feu… Itinéraire. Disparition…
« Ouhou ! », revient ma mère du p’tit magasin.
Le ciel de frangipane. Il y a les chemins et, au bout, les fermes. Demande-lui s’il a des lunettes de soleil. La rivière d’Ain. La dent Parrachée. Dieu ne peut donner que son amour. C’est une bonne nouvelle, non ? Que l’amour. Pour le reste : incapable, un infirme, il sait même pas ce que c’est. Du coup, créateur de l’univers, ça reste à prouver, l’univers n’a pas l’air d’être créé par amour, mais les astrophysiciens le découvriront peut-être.
Arrière, poussières !... Au large, espèce d’Incas de carnaval !...
Les enfances, les enfances nouvelles.
Tout le monde, tout le monde est illisible.
C’était un gosse qui était fâché avec l’école.
Une question pour le bac : « L’univers a-t-il été créé par amour ? »
25, 26 déc. 08.
Labels: poésie yves-noël dispariteur
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