Saturday, November 17, 2018

L es Compliments


Tu es sublime — si réelle — dans ce film sublime que nous venons de voir, Dominique et moi, Cold War (c'est elle qui m'y a amené, je ne connaissais pas). J'arrive même pas à imaginer comment une chose si belle et si précise est possible. Je t'embrasse aussi pour t'avoir entendu chanter 'Naviguer, c'est précis...' dans la reprise à Lausanne de Rester vivant, le spectacle sur Baudelaire où Benoît Pelé, toujours amoureux de toi, réussit encore à faire entendre ta très pure voix parmi toutes mes voix sépulcrales. J'ai vu que vous alliez travailler sur Racine. Hâte de voir ça ! Je viens, moi, d'étudier Phèdre (aussi à Lausanne), c'est très, très beau, mais tu le sais (moi, je l'ai découvert). Des bises, Yvno

Il est très fort, ton film, comme objet, très surprenant — et beaucoup de tendresse aussi — et d'inconscient. En plus, il se mélange très bien avec d'autres films (par exemple celui que j'ai vu la veille), il apprend qu'on peut mélanger les films. J'aime beaucoup,  Yvno

Quelle soirée sidérante ! Bouleversante ! Et c’est chez toi que ça se passe. Pour être franc, tout ce que j’ai rêvé de faire à l’Opéra-Comique était là ce soir. Bravo ! J’ai eu beaucoup de chance de vivre ça ! 
Je pourrais t’en parler pendant des heures, mais à quoi bon, tout est juste et limpide, généreux et sublime,
Yves-Noël

Mon Dieu, tu es si beau avec tes grands yeux — et en plus pas méchant ! J’ai été absolument enchanté (touché) de te rencontrer ce soir (dans cette soirée de nouveau monde) !
Toute mon amitié, très cher Paul, j’aimerais bien sûr te connaître (te connaître serait te dévorer des yeux), mais nous nous reverrons, n’est-ce pas ?
Yves-Noël 
(Puisque j'ai ton numéro — dont je n’oserai rien faire —, voici le mien : 06 84 60 94 58)

Merci infiniment, Yang, pour vos photos sublimes ! D’autant plus précieuses qu’elles rendent compte d’un événement rare enfoui dans mon cœur !
Yves-Noël

Quelle merveille, Jean-Paul, grâce à vous, d'avoir pu encore une fois venir téter au génie de Gérard ! Et de Barbara ! C'est comme une drogue, mais qui réconcilie avec le présent, avec le monde tel qu'il est (comme il/elle le dit : horreur et beauté). C'est d'une précision insensée, ce que fait Gérard, c'est une leçon, une ambition s'il peut jamais en exister une. Je viens de travailler Phèdre en Suisse (Dominique l'a vue) et, hier, pour moi, Gérard et Barbara jouaient Phèdre aussi, jouaient ensemble la langue miraculeuse de Racine à la perfection... Merci infiniment pour ce cadeau inouï ! Yves-Noël

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