« ce qui ressemble à la nuit » (titre)
Oriane, 22 ans, ayant obtenu son code dans la journée, qui s’ennuyait peut-être car elle s’occupait bien de moi — et de manière très affective —, à qui je demandais si les gens dans cette fête qui s’appelait « poussière qui vole » — ou comment traduire ce mot berlinois qui m’évoquait peut-être la poésie de Paul Celan, La Rose de personne, « Schwebestaub » ? (« Poussière en suspension » me dit Deepl) — étaient naturellement gentils ou bien avaient pris de la MDMA, me donna la réponse parfaite : « Ils ont pris de la MDMA, mais cette MDMA révèle ce qu’ils cachent d’eux en permanence dans la vie extérieure, c’est-à-dire leur gentillesse, qui est au fond, oui, leur vraie nature ».
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