Friday, January 30, 2009

Pierre choisira

Tous ces danseurs qui se jettent sur la piste de ski. Le vendredi matin, il y a un pianiste magnifique. Le studio est blanc, ça dévale : piste noire. Les Italiens, les Japonais, les Parisiens… La tête comme une fusée dans les pirouettes. Et « la tête comme une fusée », je le vois sur Pierre qui lui ne danse pas (mais qui danse) dans le studio chez moi juste un peu plus grand qu'un corps ou deux. L’autre jour Wayne disait : « Tout ce qu’il y a à faire, c’est d’accepter la gravité. » C’est le cas de Pierre, aussi, – bien que très virtuel – , dans la ville, dans la France ou dans les intérieurs…

On reparle avec Thomas de cette histoire du rêve, un anonyme m’a fait remarquer que l’eau de mer du rêve (du premier rêve avec Pierre) qui était totalement transparente et mouvante comme un corps était à la fois diaphane et sensuelle (cf les épisodes précédents). Il me dit : « Si c’est la femme du rêve que tu veux, tu ne l’auras pas parce que c’est ta mère, et si c’est la femme de rêve, tu ne l’auras pas non plus parce qu’elle n’existe pas. » Je fais remarquer que la première des qualités de cette femme d’un type nouveau que je recherche, c’est, bien sûr, qu’elle soit réelle. « Oui, me dit Thomas, à la fois réelle et virtuelle… » « Il va falloir la sélectionner… » Je parle de l’idée de Gaspard Delanoë de proposer à une amie à lui qui semblait convenir, blonde, styliste, vingt-quatre ans, de lire mon blog, ce qui risquait, avec ce qui s’y passe en ce moment, de la dégoûter définitivement... J’en parlais hier aussi avec Stéphane qui me dit : « C’est sûr que ça va opérer comme un filtrage… » La fille d’un genre nouveau, il va falloir qu’elle soit vraiment chouette, après tout !

Je vois (dans une archive) que la maison Hermès a sorti un « nouveau jus féminin », Eau des merveilles. « L’eau des merveilles, c’est la tête dans les étoiles et les pieds sur terre. », résume un publicitaire. « Nous voulions aussi ajouter notre patte au discours parfum, moins sur la sensualité et davantage sur le merveilleux », explique Stéphane Wargnier. « D’où ce flacon étoilé, une communication aérienne, pleine d’enchantement, et l’idée du parfum feu d’artifice. » Je me souviens de Stéphane quand il revenait de recevoir le premier Grand Prix du Luxe récompensant une campagne publicitaire, celle de la maison Hermès donc, dont il était alors le directeur de la communication. On avait dîné, je crois, avec Martine Sitbon, Marc Ascoli, Nathalie Bailleux… En voulant vérifier le nom de Nathalie dans le Livre d’Or du Dispariteur (que l'on trouve sur ce même blog), je tombe sur une phrase d’Hélèna Villovitch qui y avait mis à la sortie du spectacle et alors que nous ne nous connaissions pas (Attention : séquence émotion, mouchoirs souhaités.) : « Yves-Noël, laissez-moi vous dire que l’élégance que vous déployez dans votre mise en scène est à la limite de l’insupportable. »

J'offrirai le parfum Eau des merveilles à la femme d'un genre nouveau...

Je demande à Claude Régy si Marguerite Duras l’a dragué au cours de leur long compagnonnage (je me répète peut-être, j’ai l’impression d’avoir déjà raconté cette histoire), il me dit : « Une fois, dans la voiture en bas de chez elle, une fois que je l'avais raccompagnée, elle m’a mis la main sur la cuisse et elle a dit : « Toi et moi, on est pareil, on est des sensuels. » » « Et vous n’avez pas donné suite ? – Non. »

« They say that the world belongs to people who wake up early, I don’t think so, the world is about dreams. »

Ça, je le lis à la maison de la presse du Village dans un magazine hétérosexuel et sensuel que j'admire... mais j’achète « Têtu » parce qu’on y parle de voyages dans les déserts… On rêvera avec Pierre (il ne pourra pas quitter le ministère) de « l’hospitalité bédouine en Jordanie ». « Quoi de mieux que le décor de cinéma du Wadi Rum Jordanien pour évoquer les aventures de Lawrence d’Arabie, et rêver, la tête dans les étoiles, au regard bleu acier de Peter O’Toole… » Ah, mon Pierre...

Marguerite Duras dit : « Le mot que je déteste le plus dans la langue française, c’est le mot « rêve ». Moi, je ne rêve pas, j’écris. »

« Les poneys, ils ne peuvent pas s’empêcher d’avoir des beaux yeux. »

Ça, c’est moi qui le dis (j’en croise, à Vélib', esplanade des Invalides). Et je me souviens que je dis à Gareth, lors d’une promenade en vallée de la Loire, tous deux nous étions arrêtés au bord d’un champ : « Eh bien, moi, j’arrête les filles (ou les garçons, je n'sais plus), je commence les ânes ! », et qui m’avait répondu très vite : « Oh oui, c’est trop mignon ! »

Mais Thomas à qui je dis : « « Femme du rêve, femme de rêve... », ce serait un bon titre pour une prochaine note… » me répond : « Ce que nous disons là n’est pas pour alimenter ton blog. » Alors qu’il a tellement « alimenté » mes spectacles, les one man shows surtout, au point que certaines fois je prenais des notes pendant les séances, il est réticent vis à vis des blogs, je n’ai pas encore bien compris pourquoi (nous saurons plus tard). Il me dit : « Je comprends que les gens écrivent… » Mais ça lui plaît quand je lui dis que mon père le lit, mon blog (et que j'espère qu'il a un peu levé le pied ces temps derniers...)

« Tu entends bien, mais tu n’écoutes pas. », me dit Thomas. Quinze ans pour enfin recevoir un compliment ! Je laisse de côté la deuxième partie, c’est normal qu’il me dise ça, c’est un psy... Mais entendre bien !






Restaurateur de filles

Stéphane Wargnier se demande quoi faire dans la vie, puisqu’il est au chômage. Puisque que je m’occupe d’acteurs, il me demande s’il pourrait être acteur ; à la patronne du restaurant corse, rue du Pas de la Mule, il demande s’il pourrait ouvrir un restaurant. Je lui propose une astuce : « Tu pourrais faire restaur-acteur… » Et la patronne, plus fine, qui lui dit : « Restaurateur pour filles. » Et à mon intention : « Ah, il aime ça, restaurer le moral des filles… » Stéphane m’avoue assez vite qu’il s’occupe de filles en ce moment. C'est dit d'un mot. Ça a toujours été le cas, lui et moi nous le savons, mais maintenant il a tout le temps et même ses matinées. Et, en effet, je ne l’ai jamais vu plus épanoui. Ce type, visiblement, fait du bien. Il pourrait être acteur, il pourrait être restaurateur, il doit être amant, ami merveilleux... On parle bien, il m’avoue aussi des choses plus essentielles, des choses qui auront du sens pour moi dans les semaines, les mois ou les années à venir (et des choses que je ne peux pas mettre sur mon blog, par manque de temps ou manque de place – le cerveau est heureusement plus complexe que la linéarité des mots). Avec Stéphane, nous nous connaissons depuis plus de vingt-cinq ans. Depuis le livre Rauque la ville, de Jean-Pierre Ceton, qu’il me dit d'ailleurs avoir cherché récemment sans le trouver dans sa bibliothèque (mais sa bibliothèque a été dévastée par un dégât des eaux) parce qu’il voulait le donner à une jeune fille de vingt-cinq ans (mais il pense aussi qu’il l’a tellement transmis, ce livre, comme je l'ai fait aussi, c'était notre livre culte, absolu, qu’il ne l’avait peut-être plus « en stock » à la maison). Une fois, chez moi, appartement gratté, vide, belle saison, fenêtres ouvertes, Stéphane m'avait lu à voix haute tout un livre de Hervé Guibert (Les Lubies d'Arthur). Il me parle d’un livre magnifique qui l’habite en ce moment : Cercle, de Yannick Haenel (Gallimard). Tout à l’heure, rue de la Roquette, je le demande : il n’est pas encore paru (le 5 février). Mais j’en trouve sur Internet les bonnes feuilles. Que je ne recopie pas, mais que je copie-colle. Je comprends comment ce livre plaît à Stéphane, il est immédiat (de sens) et il y a cette phrase…






« C'est maintenant qu’il faut reprendre vie. J’ai répété cette phrase toute la journée en longeant la Seine : « C’est maintenant qu’il faut reprendre vie. » Il y avait une lumière nouvelle dans les arbres, du vert partout, du bleu, et ce vent léger où flottent les désirs. J’ignore d’où venait cette phrase, mais elle glissait bien dans ma tête. Avec elle une joie bizarre se diffusait dans l’air d'avril, une joie de solitude qui vous ouvre la route. J’ai dit : « C’est maintenant qu'il faut reprendre vie. » Aussitôt, il y a eu une série d'étincelles autour de ma tête, puis la phrase s’est enroulée autour de mes épaules en y traçant des lignes rouges, orange, jaunes ; elle a cheminé le long de mon bras, lentement, jusqu’à ma main qui s’est gorgée d’un sang bleu-noir. C’est ainsi que ce livre a commencé à s’écrire. La Seine, les arbres et mon corps se sont mis à tourner dans un instant de vide. Je n'ai pas eu le vertige. Au contraire : tout était affecté de vertige, sauf moi. Je brûlais, mon corps n'était plus mon corps, mais un buisson de flammes d’où sortaient des phrases. Ces phrases tourbillonnaient dans la lumière, au-dessus de l’eau, comme des tapis volants. Elles formaient dans le ciel d’immenses rubans de nacre. Un calme étrange fleurissait dans ma tête. Laisse faire, me disais-je, surtout laisse faire : un passage va s’ouvrir, et ce passage, tu l’appelleras Cercle.
J’attendais le train sur le quai de la station Champ-de-Mars. C’était le printemps, le 17 avril. Il y avait énormément de touristes, des groupes d'Américains, des Japonais, et à côté de moi deux Polonaises, qui m’ont demandé si c’était la bonne direction pour le château de Versailles. Et puis il y avait tous ces gens qui allaient travailler, comme moi, et qui, comme moi, puisqu’on était lundi, avaient leur tête du lundi.

Il fallait que je prenne le train de 8 h 07. Si je ne voulais pas être en retard à mon travail, le train de 8 h 07, il me le fallait. J’étais très concentré sur le train de 8 h 07, et lorsqu’il est entré dans la station Champ-de-Mars, j’ai entendu la phrase : « C’est maintenant qu'il faut reprendre vie. » Il était 8 h 07, je regardais les portières rouge et bleu s'ouvrir, les voyageurs descendre ou monter ; une voix dans les haut-parleurs nous a rappelé que ce train desservait toutes les gares jusqu’au château de Versailles. Je ne suis pas monté. J’ai pensé : cette phrase s’adresse à moi, ou plutôt elle s’adresse à tout le monde, mais ce matin, à 8 h 07, c’est moi qui l’entends. Et c’est vrai, me disais-je, rien n’est plus juste : il faut reprendre vie, il faut qu’à partir de ce matin, maintenant, tout de suite, je reprenne vie. J’ai répété cette phrase plusieurs fois sur un ton différent ; et tandis que les portières du train de 8 h 07 se fermaient, j’ai souri. Reprendre vie, bien sûr, c'est maintenant ou jamais. Reprendre vie, tout de suite, il faut. »






Je cherche toujours un nom d’association. Tout à l’heure, Thomas propose : « Associons-nous. » Et je lis un peu plus tard (sur le blog de Jean-Pierre Ceton) que Maurice Blanchot s’écriait en mai 68 : « Manifestons-nous ! » Élie Hay m'appelle à l'instant, il me propose de passer faire l'œil extérieur d'un solo « rustique » qu'il prépare pour Naxos Bobine (je l'imagine à poil). Je lui demande en retour de me donner un cour d'homosexualité (il est plutôt femmes, mais il a connu les deux, il a même couché avec Kamel Ouali, alors... mais je m'égare, là, je m'égare...) Bon, Pierre revient ce week-end avec sa fille finalement. C'est chouette, dis donc ! Il faut que j'apprenne la chanson de Christophe Maé qu'elle connait par cœur, mais Pierre m'a dit que la chose la plus difficile qu'elle pouvait me demander, ce serait sans doute de lui faire une construction en Lego... Les Lego, les Lego, vite...






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Pierre vient de faire un pastiche d’Hélèna Villovitch absolument hilarant ! C’est la dernière note de son blog (cliquer sur le titre). Mais faut-il avoir lu Hélèna Villovitch pour rire ? Alors je conseille la lecture d’Hélèna Villovitch ! Lisez tout ! En particulier, ce qui a servi pour le pastiche : Le bonheur par le shopping, Maren Sell Éditeurs (2005).

J’ai compris pourquoi Thomas Geelber ne comprend pas les blogs. En quinze ans de fréquentation, je ne sais absolument rien de sa vie. Je sais seulement qu’il a vécu en Argentine étant enfant. C’est tout. Il m’avait dit : « Pour vivre cachés, vivons heureux. ». Mais la première formule plus célèbre s’applique aussi très certainement à son cas (Dominique Décant, par exemple, même méthode, l’haptonomie, et que maintenant voit Hélèna, racontait tout d’elle-même – mais est-ce le propos ?) Moi, je n’ai jamais compris pourquoi Thomas ne disait rien de lui-même, mais c’est admirable, à n’en point douter. Aucune Biography.






Les toits s’envolent, les arbres électriques, j’aime la littérature avec mon chéri… Une histoire qui flirte avec l’inconscient, beaucoup… parfois limite expérimentale... Pierre ou Paul. Est-ce que notre amour n’est pas entièrement fabriqué ? Si, notre amour est entièrement fabriqué. Mais, au milieu de cette fabrication, il y a le cœur. Le cœur, ce n’est pas le blog, c’est la littérature, c’est le week-end, ce n’est pas la semaine. Projet de lire ce livre, aujourd’hui. Projet de lire et de dormir, et d’être prêt pour l’enfant. Aimer l’enfant. 1 h 28, j'arrête d'écrire... À demain... Demain, nous parlerons d'Ovide (réécrit par Marie Darrieussecq pour P.O.L.) :

« dissimuler notre amitié est impossible
elle était plus connue que nous
nous étions toujours ensemble »

« j'ai vu le mal
de mes yeux par hasard »






La réécriture, ça m’intéresse évidemment, Pierre a réécrit un texte de moi (l’anniversaire de Cecilia…) et, maintenant, un texte d’Hélèna en se basant aussi sur une nouvelle (non publiée) intitulée L’Aspirateur qui racontait notre amour naissant, à Pierre et à moi, par le truchement du blog – nouvelle qui réécrivait déjà – mais il l’explique mieux que moi – le phénomène d’ « aspiration » mis à jour par Pierre et détaillé sur son blog. Mais les lecteurs connaissent. (Ou reconnaîtront. D'instinct.)

Une chose encore. Ceci a à voir avec la mort. Comme le dit Ovide, il y a deux mille ans (et marie Darrieussecq récemment) :

« Chez nous un grand poète est un poète mort
De son vivant l’envie empêche qu’on le lise. »






« Je suis la lettre d’un exilé »

Dans un pays sans télé… Ovide (en exil), blogueur avant la lettre ? Marie Darrieussecq écrit dans sa préface : « On est parfois dérouté, en 2008, de voir le nombre de destinataires auxquels il s’adresse dans une seule lettre (sans parler du couple impérial sans cesse sollicité). Ses lettres sont faites pour circuler. »

« Les premières années, Ovide est prudent : le nom des destinataires n’apparaît pas. Celui qui réceptionnera la lettre est libre de se reconnaître ou pas. Le statut officiel de ces lettres est d’ailleurs ambigu : sont-elles interdites à Rome, comme l’est la personne d’Ovide et son Art d’aimer ? Et puis, au bout du quatrième hiver, il envoie tout balader : il écrit les noms. C’est ce qui marque la différence entre les deux recueils, LesTristes et Les Pontiques. Ovide «poste» ses lettres par paquets d’une dizaine. Ces paquets annuels forment des livres, cinq pour Les Tristes, quatre pour Les Pontiques, gravés sur des tablettes de cire puis transcrits au propre sur des rouleaux de parchemin ou de papyrus. Les rouleaux mettent environ six mois pour atteindre Rome ; à nouveau six mois pour les réponses quand il y en a. La voie terrestre est aussi dangereuse que la voie maritime. »

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L’enclave de la belle saison

« Ma queue que tu vas fabriquer à tes désirs (je l’espère)… Comme on a le projet de faire un bout de – ou un long chemin – ensemble, ma queue, tu vas la fabriquer, ce n’est certes pas la même queue, déjà, que celle que j’utilisais avec Hélèna, ça non !... Mais c’est pas fini, la reformation du désir… Tu vas la modeler, ma queue, tu vas la sculpter… Un nouveau corps, encore… Une queue sans con (séquences), mais qui va servir, quand même, va être bien utile, je crois, pour assurer l’agrippement que tu aimes, la manière que tu aimes… Mon amour, on s’accroche. On s’approche tellement qu’on s’accroche. Il y a un naturel, pas aller contre. Pas mépriser l’homosexualité, la tranquillité de l’homosexualité. La calme homosexualité, la liquide, la limpide homosexualité… »

Ce qui m’ennuie si je publie ça, c’est que j’ai tout de suite envie de dire le contraire. Ce qui donne : la furieuse homosexualité, la solide, la trouble homosexualité. Ou : l’homosexualité énervée, la gazeuse, l’opaque homosexualité. Ou : la nerveuse, l’excitée, la dure, la turbide homosexualité. L’agitée, la mouvementée homosexualité. Non : la calme homosexualité. L’été en hiver… Il suffit qu’une tourterelle fasse le bruit (ça peut être dans les conduits des canalisations de l’oreille interne…) Thomas parle de « transition », je dis que je me sens comme en vacances, l’été en hiver, l’enclave de la belle saison. Il me fait remarquer que le soleil est magnifique en effet. Et puis c’est là qu’il dit cette phrase : « Tu entends bien, mais tu n’écoutes pas. »

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Le savoir de danser

Jean-Pierre Ceton. (Lien en cliquant sur le titre.)

28 janvier 2009

YvNo qui n'écrit plus sur papier, qui parle de son adolescence sans joie, en fait écrit en parlé sur tous sujets de sa vie par les secondes qui courent... se renseigne sur comment faire pour avoir le cul propre avant de rejoindre son amant.
Un de ses amis lui conseille de se servir du tuyau de douche après en avoir retiré la pomme.
Il y a déjà longtemps j'ai découvert dans les pays arabes la manière de se laver les fesses dans les toilettes, après le caca, à l'aide d'un tuyau d'eau justement, le papier y étant considéré comme peu civilisé. S'agissant donc de se laver au lieu de s'essuyer, mais pas de se faire un lavement.
À noter que c'était une pratique médicale répandue, les lavements, qui a disparu, tout comme les ventouses dans le dos et les sangsues dans le cou...
Il parait que des bourgeoises se font nettoyer le gros intestin pour avoir l'impression d'être propre partout. Il parait aussi que c'est assez douloureux...
YvNo quant à lui surfe sur sa tornade de libération en lien à son savoir de danser.

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