Sunday, May 12, 2019

J’aime beaucoup la figure du boxeur. Adrien Dantou et Gaël Sall l’ont jouée dans Un petit peu de Zelda et dans Massacre du printemps sur la musique du Sacre du Printemps. Guy Marcel, vrai boxeur, l’a incarnée magnifiquement dans La Beauté contemporaine et dans Racine et fleurs. Je voulais l'embarquer au Brésil où l’on me demande de remplacer au pied levé un spectacle annulé, mais Guy, réfugié, n’a pas encore de passeport. Damned ! Je ne suis pas, Dieu merci ! révolutionnaire pour un sou, ceux qui me connaissent le savent, mais, là, j’aurais pu tuer à mains nues Emmanuel Macron (qui, le pauvre, aurait payé pour tous les autres). Quelqu’un ne connaît pas un autre boxeur sublime — avec passeport ? (le sont tous, certains plus que d'autres !)
Sinon, ce soir, on joue les TROIS SŒURS (acte III et IV) au café Pas Si Loin, 1, rue Berthier, Pantin, 19h30, entrée libre, ouverture des portes dès 19h.

T rouvé dans « Libé » pour, ce soir, Ireïna Labetskaïa, jouer


« l’imprévisible du cœur humain »

« sans une once de pathos, indice de fausseté »

« Voilà la seule chose qui mérite d’exister dans les histoires comme dans la vie vraie. L’amour, l’amour offert aux enfants, aux siens comme à ceux des autres. L’amour qui fait que, malgré tout ce qui existe, et tout ce qui n’existe pas, l’amour qui fait que la vie continue.


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