Peut-être insister pas seulement sur la beauté, mais aussi sur le venin, l’empoisonnement que représente Baudelaire — ou Phèdre sur laquelle je travaille en ce moment : ce que reprochait Nicole à Racine, d’être un empoisonneur (de perdre les âmes) est vrai. Mais c’est comme ça, la beauté, chez Racine, chez Baudelaire empoisonne…
YN