Monday, July 16, 2012

Sylvie



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Le meilleur compliment




« Moi, y en a un que j’adore ! C’est Patrick Chesnais ! Il est moche, il est con, mais, moi, j’l’adore ! » C’est la mère de ma première copine, de la région de Bourg-en-Bresse (accent très fort que je ne peux pas reproduire – mais demandez-moi…) Je repense toujours à elle avec sympathie à cause de cette phrase (qui a oblitéré toutes les autres).

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Un film impressionnant



Je suis parti vite, mais juste te redire que ton film est sidérant, d'une beauté absolue, chef d'œuvre en effet, aboutissement du travail de Claude et de Laurent (en tout cas)... 

Bisous

YN





Merci, merci, merci.
J'aimerais que tu écrives quelques phrases sur le film qui pourrait accompagner l'édition DVD. Pourquoi toi ? Oh, là, là...
A





Oh, là, là, mais, là, t'es fou ! Non, je pense VRAIMENT que ton film est SUBLIMISSIME et je serais bien trop impressionné pour en dire qqch de simplement écrit en français !

YN

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Milliardaire



Avec François, on est allé rendre visite à Audrey Vernon. Elle habite une piscine avenue de la Source et nous a fait le plan de la star (amphibie). Elle m’a aussi montré qu’elle avait imprimé sur le flier de son spectacle ce que j’avais écrit à son propos (sur mon blog). Je ne saurais donc trop insister pour que vous alliez voir et revoir Comment épouser un milliardaire, à 20h40, 44, rue Thiers (spectacle très instructif). Comme c’est quasi complet (sa mère, dit-elle, n’a pas pu entrer), allez voir son nouvel opus, Marx et Jenny, à 19h, même lieu – sauf demain où elle le joue dans une usine occupée (c’est là où j’irai). 

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La Belle inconnue



« « Deleuze a toujours opposé à l'ego autocentré et limité, le concept clé de la « rencontre ». C'est en effet par elle que s'opèrent les transformations et les métamorphoses. Ce travail est une rencontre avec Mikael Marklund autour d'un solo. Une réponse – certainement – à un autre solo autour du texte Paysage sous surveillance de Heiner Müller qui se termine par ces mots effroyables : « Moi, la tempête gelée. » Point. Plus d'histoire car plus de temps qui coule. Mon travail, suite à la mise en scène de ce texte en 2007, a été de (re)trouver un vent possible. Une ouverture par le mouvement à la recherche d'une tempête à définir – celle de l'histoire peut-être – qui reprendrait son cours, dans un dialogue avec le dehors, dans un jeu entre soi et soi : un courant d'air à suivre. Avec une belle inconnue : demain, à ne pas abandonner. »
 Laurent Chétouane »

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