Tuesday, July 30, 2019

« Les loques de pauvre qui flottent au vent
Disloquent les cieux à chaque moment. »

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F leurs de thé


Si vous restez à Paris (heureux veinards), un des plus beaux films du monde : Herbes flottantes, de Yasujirô Ozu. Revu hier. C’est beau d’avoir tout oublier et, dans la salle souterraine et obscure, de reconnaître des images, des scènes, des gestes comme s’ils avaient été enfouis dans le sable et qu’ils resurgissaient comme des fleurs dans le thé...

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L es Portes de la perception


« If the doors of perception were cleansed, everything would appear to man as it is: infinite. »

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P réhistoire