Saturday, November 25, 2017

L e Dispariteur


Photo de Mathieu Touzé

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« Mes musiques étaient débraillées et sales et par là anti-musicales, anti-humanistes. »

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« Sous les vêtements aux coutures frontières, le corps sous-jacent explose sans se montrer pourtant. »

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L es bons


« T’as pas rencontré les bons hétéros, c’est tout. »

« Tu préfères crevette, porc ou bœuf ?
— Ça dépend, tu parles de nourriture ou de mecs ? »

« Tu préfères le sexe ou les réseaux sociaux ? »

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A mérique



Que les hommes politiques ne pensent qu’au sex, c’est la seule chose qui me les rendent humains

J’aime la délinquance sexuelle

J’use la batterie de mon téléphone en restant chez moi

Vincent Gallo, il est con, mais il est beau

I n Defense of Nothing


« I guess these trailers lined up in the lot off the highway will do.
I guess that crooked eucalyptus tree also.
I guess this highway will have to do and the cars
     and the people in them on their way.
The present is always coming up to us, surrounding us. 
It's hard to imagine atoms, hard to imagine
     hydrogen & oxygen binding, it'll have to do. 
This sky with its macular clouds also
     and that electric tower to the left, one line broken free. »

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A vec Sylvie qui ne voulait pas être photographiée



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L e Parfum Guilty de Gucci


Je plaide Guilty

L 'Inédit de Proust sur la masturbation


Dominique ne me croit pas quand je lui dis que tu as accepté de te masturber pendant 2h1/2 à condition qu'elle passe de temps en temps devant toi. Et elle ajoute : « Vous êtes des malades ! Si vous croyez que ça m'intéresse de voir des porteurs de tuyau en train de se l'astiquer... » Donc le tournage est reporté pour le moment, il faut trouver une nouvelle idée... YN

Je ris tout seul 

On a retrouvé un inédit de Proust : 60p sur la masturbation ! Donc l'affaire est relancée (ne crois pas t'en tirer à si bon compte, mon petit prédateur !), YN

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D es travaux et des chaleurs excessives


Paris est une joie de vivre permanente, je dirais même plus : un festival d’Avignon permanent. Hors, moi, à Avignon, moi personnellement, je n'y tiens que trois jours, à Avignon, pendant le festival, quand je n’y travaille pas, c’est-à-dire trop souvent. Hier nous sommes allés en forêt, dans les allées, dans un parc, voir les arbres, le croissant de la lune, la tombée du jour, la nuit d’hiver. Rien d’équivalent. Mais on loupe tout à Paris, pourquoi ne pas y vivre, à la campagne ? On loupe tout parce que la société (de consommation, je vous le rappelle) nous place dans des niches ciblées, des niches d’indignation, beaucoup, mais ce n’est que pour mieux se vendre, alors on ne trouve que ce que les robots pas encore au point pensent qu'on doit trouver, pas l’aiguille d’or dans la botte de foin. Trop d’infos tue l’info, on ne sait pas, on mendie. Par exemple, quelque chose qu'on a loupé, Dominique me montre, c’est la nuit à la philharmonie, huit heures d’une grande berceuse qu’on écoute allongé sur un matelas individuel (malheureusement — et il faut apporter sa literie). Maintenant j’écoute la musique de Max Richter intitulée Sleep sur Youtube en raturant ce post... On va louper le troisième volet d’une tétralogie sur Moby Dick au Théâtre du Voyageur (ou par le Théâtre du Voyageur, je ne sais pas), quai D à la gare d’Asnières-sur-Scène (sorry du lapsus). N’est-ce pas merveilleux ? On prend le train gare Saint-Lazare et, arrivé à destination (il paraît que c’est à cinq minutes), on ne fait que changer de quai ! Ce soir il y a tout le monde à la première de Jonathan à Nanterre. Mais je suis à Vanves, mon meilleur ami de Nantes, Tanguy Malik Bordage (voir photo, vous comprendrez) y présente son Projet Loup des Steppes que j’ai loupé jusqu’ici (qui se joue aussi demain et plus tard, en décembre, à Gennevilliers). Demain, à 16h, à La Loge, le nouveau spectacle de l’excellente Christine Armanger. Puis, de Joris Lacoste, Suite n°3 ‘Europe’ dont j’attends beaucoup. Et puis les Chiens de Navarre aux Bouffes du Nord (comment s’en passer ?) Et puis le surnaturel spectacle de François Gremaud au Rond-Point où je me languis de retourner car il se joue en neuf épisodes, un peu comme la berceuse immense, mais on n’y va pas avec sa literie, c'est dommage. Etc. — Et si on on replantait des arbres ?

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I don't want it to become


« I don't want it to become some sort of witch hunt for men… It’s not just because a woman speaks out that it’s a reality. »

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