Thursday, March 14, 2013

Le Nu perdu


Cherche une jeune femme riche et amoureuse qui permettrait de ne plus être dans le besoin.

Le beau tapis (2)



Expo de Théo Mercier au Lieu Unique.

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« La poésie occupe le domaine entier de la vie parlée, dans la réalité et en rêve. »

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Expo de Théo Mercier au Lieu Unique.

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To talk about Satan



Moi avec ma lenteur,
Moi avec ma lourdeur,
Moi, le temps que ça 
m’aime (que ça 
m’imprègne), je 
respire.

Je ne suis pas 
Vraiment là, je suis
Devant le cinéma, 
Je respire.

Toute cette place
Inside que je suis :
Un pays étrange
Que l’on explore pour 
Moi.

Je respire
Les poèmes 
De plus en 
Plus pauvres 
De l’humanité
Déchirante.
(Et peut-être que 
Ça a toujours été.)

Les belles dents.

Quelles sont les 
Nouvelles du 
Jour ?
— Du jour — ?

Que nous veut 
L’Amérique ?
Leurs poèmes anciens...
Ils ne sont plus
Les maîtres du monde
— Presque plus —, le 
Monde.

Je ne suis pas calmé.
Je ne me cabre pas.

Toute cette respiration !
Heart breakers.

Je dors chez moi,
A l’intérieur 
De moi,
Avec tout
Mes souvenirs
Et mon écart.

Et mon cerveau-
Poumon
Vide et plein,
Vide et plein
Pendant que le film
Se déroule.

La peur te fait fermer
Les yeux et les 
Narines.



13 mars 2013.

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Voyage en train (3)

Alors, on se voit bientôt ? Au moins pour cerner quel type de projets serait envisageable. Plusieurs solutions : même budget, même salle ou (mieux) salle moyenne : un one man show (celui que j’ai pas fait) ; reprise de Blektre, l’opérette de Nathalie Quintane qui est un spectacle très « déjanté » (et très « arty »), très facile à reprendre et qui s’inscrit parfaitement dans votre cahier des charges (textes contemporains) (un article sur ce spectacle dans le prochain numéro de « Volailles » et une photo ci-dessous) ; un gros budget et alors, là, on y va — Philippe Chamaux, hier, à Brest, m’a dit qu’il était près à me suivre sur un gros budget et, moi aussi, j’adorerais ! (C’est évidemment pas plus dur — et même moins — que mes petits budgets) — ; Elle est là, de Nathalie Sarraute, exact et très librement dégainé par Judith Chemla et Nicolas Maury, mes 2 acteurs favoris (idée suggérée par Nicolas). 
Etc. (Ce ne sont là que des exemples.) La pièce de Jean-Michel m’a plu et intéressé — et ça m’a fait plaisir de dire à Jean-Michel que j’avais aimé...

Yves-Noël

Photo Marc Domage.

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Voyage en train (3)

Le Cinéma



« Que l’image s’efface en moi, me voilà aussi presque aveugle pour l’extérieur, douloureusement aveugle, endolori d’aveuglement (au lieu d’« image », dis aussi « rêve », « illusion », « être tout entier » , « être avec »...) ; et pourquoi l’image s’efface-t-elle en toi ? — Par manque de liturgie quotidienne, de liturgie du jour (leiturgia = « service public ») »

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