Saturday, January 19, 2008

Pluie d'été

Pluie d'été










Monsieur Le-feu-vole, Firefly
Il apparaîtra quand l’horloge sonnera dix fois. He’ll make his appearance when the clock on the wall strikes ten. Information, illustration… Partager avec moi. In cauda venenum.
Qu’est-ce que je confesse ? L’eau d’azur. Food ! Food ! L’amour est montré comme abandonné… Les Roumains.










Alors, c’était beau l’Irlande ? – Merveilleux ! De la brume, de la pluie.
Enfin, vous voyez, ce qui m’amuse là-d’dans… C’est quand même pas sorcier d’avoir l’air d’un bonhomme, de temps en temps, bon sang, quoi.

Vous comprenez, ça doit être… on doit jouer sérieusement, mais sans jamais se prendre au sérieux. Tout ça doit, doit être… c’est un mot… « gracieux », mais dans le bon sens du terme… et avoir l’air d’être facile, et, pour ça, c’est un travail qui vient de l’intérieur…


Les viandes de Breughel, de Rembrandt...










Il y a une irréalité dans les roses, dans l’amorti des roses… This is the end, beautiful friend.


(Waiting for the summer rain.)










Le serpent old and cold. Sanglot, moulin.

C’est distingué, ta façon d’manger ; on dirait une pelleteuse.










Un charmant va-nu-pieds ou un prince mendiant. Un personnage démodé, anachronique. Quand on casse son image…
Une femme idéalisée. Nues sont les robes… L’approche rose… À pas de loup…
J’aime… Je n’suis pas libre de cet amour… La réunion de deux désespoirs.
Entre intimes.

Le canapé s’évanouit quand il s’évanouit et, quand l’autre entre, les ombres s’affadissent… Tout est vu dans le miroir comme dans la réalité.










Yves-Noël Genod, 19 janvier 2008.

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Du feu de Dieu

Du feu de Dieu

Quand je mourrai, j’irai au paradis
Parc’que c’est en enfer que j’ai passé ma vie










Je suis dans la vie – à la maison

Tes petits ongles, ta petite femme

Allez, envoyez le reste du monde

Étrange mission
La musique lourde et la nuit
La nuit

Un « aime » vivant

Je voudrais, moi aussi, m’éloigner de ton cœur










Raconter la mort sans cri ni violence

Le brouillard freudien. La beauté, fragile luisance. La roche. Regarde ce qui arrive avec Pierre Allure. Bach et Debussy
C’est ce réalisateur qui a fait The Constant Gardener, La constance du jardinier ? non, ça n’a rien à voir…



Yes or no.










Tu traverses le parc en diagonale.
Son innocence

« Rigoureux », si vous entendez : « douloureux »…
Les muscles dans l’aisselle
L’armure dont on se protège.
Bach et Debussy
Une boîte à Montréal : « La Foufoune Électrique »

Des larmes de citron sur un steak de thon
Les Marx Brothers



Ça donne un corps d’adolescent un peu aggravé
Son sourire de faction










La maison de Mallarmé et de Édouard Levé
Le local des vitres calmes
Lire Pierre Reverdy
Le jeu d’Hamlet
En extérieur, sans accessoires et sans scores
Un type à qui il arrive tout – Marcel Aymé.
Les marques blanches
Ils passent leur temps à expliquer.
Adam et Dave
J’ai fait des spectacles modestes qui étaient sublimes, maintenant, je ferai des spectacles prétentieux qui seront plus simples



On dirait du Strindberg









Ça marche sur rien

Le cerveau-puzzle - et la boîte secouée !
Faut trouver avant qu’on trouve
C’est la guerre des dieux
Tout ça paraissait un p’tit peu bizarre, surréaliste comme situation…
C’est quand elle tombe amoureuse que le cœur se met à battre

Hamlet 2

Oh, mon Dieu, que c’est triste d’être gay !

Ah, que c’est gai d’être hétéro…

L’amour, le pouvoir contre lequel tous les pouvoirs ne peuvent rien










Yves-Noël Genod, 19 janvier 2008.

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