Thursday, March 08, 2018

Jean-Louis Badet
Remarquable expérience

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Je dis à l’acteur : Ne sois pas le maître du public, mais le libérateur 
YNG

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« Cependant, les indices sont bien maigres »

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A ttention is not the same thing as concentration


Ricardo Paz, Stefan Kinsman, Aidan Amore

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Bonsoir Yves-Noël Genod,
Je serais bien ingrate de ne pas prendre quelques minutes pour vous remercier, vous et les comédiens, de ce « cadeau » qu'hier (je suis venue mardi à 14 h) vous nous avez offert.
Cet Hamlet « sans fin », je ne suis pas prête de l'oublier. 
Ce moment  vous ressemble, fluidité, beauté des atmosphères insolites et des apparitions fugitives, justesse de l'alliance mot-gestuelle, humour parfois. ...Quel voyage ! Et tout cela servi à merveille par l'excellence de ce comédien (qui est-ce ? j'ai cherché son nom, sans le trouver). Ce comédien qui dit, qui « danse » son texte, qui nous offre tous les registres... et qui tient sur la longueur. Par discrétion et peut-être timidité, je n'ai pas osé lui dire à quel point son jeu m'avait enthousiasmé. Merci de lui transmettre cet éloge. Excellence aussi dans leur registre des deux « athlètes » énigmatiques (je ne sais comment les dire).
Bémol... et oui, il faut bien valoriser l'éloge par un brin de critique, qui n'est que très personnelle et dû à ma méconnaissance de cet anglais appris « au temps jadis » de façon livresque et largement oublié, n'en ayant eu aucune pratique ensuite (même pour les Beatles !). Donc, l'anglais... pour moi trop présent, même si, sans tout comprendre, j'ai pu interpréter et sentir les intentions... mais au bout d'un moment (quand Hamlet sort de la salle), je me suis découragée et j'ai un peu lâché l'affaire. Du coup, lassitude.
Bon, mais ça n'est qu'un bémol. Je m'autorise de le dire par honnêteté, mais c'est sans doute très personnel et je suis sortie tout à fait heureuse. Cet Hamlet m'a pris par la main pour m'émouvoir, m'égayer, m'éblouir. Que demander de plus au théâtre ? 
Encore merci, à vous, maître d'œuvre et aux comédiens-artisans.

Je penserai à vous le 13 et je regrette bien de ne pouvoir revenir (ah! si je n'étais pas si « vieille » — si ! si ! — et si je n'habitais pas si loin). Je vous souhaite plein de bonnes choses. Bien amicalement. Nicole Blœdé

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