Monday, December 16, 2013

« L a lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil »


Retour dans « la danse contemporaine »… Qu’ils sont gentils ! Ça va si vite ! on est tout de suite comme un poisson dans l’eau… Je pensais à la phrase de Pina Bausch : « Ce métier nous permet de faire adulte ce que l’on fait petit » (de mémoire, bien sûr). C’est Jocelyn Cottencin, le chef de projet… Sur le mot « monument »… Eh, bien, c’est passionnant, les mots-monuments ! Pendant 3 jours, tout le monde est chic, j’étais le plus vulgaire, c’est dire… C’est beau, les formes — la vie —, surtout quand elles n’en finissent pas — ce qui est toujours le cas : l’art qui a commencé dans les cavernes, avec la peinture (aux 3/4, dit-on d’ailleurs, réalisée par des femmes), ça n’en finit pas… J’aimerais bien continuer avec Jocelyn et tous ces gens QUI ME SUPPORTENT à bâtir des monuments de vent, de sang et de pensées qui n’en finissent pas, ni de passer ni de promettre… (dans les landes et les gris et les mers du Nord).

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D ans peu à peu de bonheur


« Comme cela est simple et clair, comment ai-je pu ne pas le savoir avant ? » Ces quelques mots échappent au comte Bézoukhov, héros de Guerre et Paix alors qu’il rêve à la vie. » 

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L a Gare de Saint-Brieuc



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V aste prière


Mon corps est une vaste prière.
Il y a tant de temps pour la prière. Tant de temps qu’on pourrait croire que la vie est pour ça : dédiée à la prière. Le monde. Ok. D’autres sont au monde et font ce qu’ils peuvent. Mais, moi, j’ai tant de temps.
Un amant qui ne vient jamais
Une femme qui ne vient jamais
C’est la prière
Et, le long du canal,
aller au travail

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« Ils peignaient ce qui les intéressait : des femmes nues et des gros animaux effrayants. »

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