U n stage sur l'amour

Benoît Vreux, du Cifas (un organisme de formation) me propose de donner un stage sur l’amour ds un an, ici, à Bruxelles — avec présentation publique le jour de la Saint-Valentin, le 14 fév. Très bien. « C’est porteur, ça », me dit-il.

T ête de gomme

Mon petit Simon, tu aurais pas un petit moment dans tes journées (pas demain jeudi) pour qu’on aille quand même essayer des perruques à Hair Club ? Ça m’a réveillé la nuit, quand même, ton histoire, je ne sais pas, peut-être que dans l’espace, je verrai que ça me plaît (j’espère !), mais, au cas où, il faudrait trouver une perruque réaliste (qu’on croit que c’est tes vrais cheveux, ta vraie coupe). Je me suis souvenu que j’avais déjà crisé en septembre et que tu m’avais dit que pas de problème ça aura le temps de repousser pour mars… Ah, là, là, mon garçon… Donc si jamais tu peux t’échapper une h. Sinon on va voir Eraserhead à la Cinematek (Bozar), ce soir, 21h30 avec Boris, etc. Si ça te dit...

La Erudición vagabunda

« El frontispicio del castillo advertía :

Ya estabas aquí antes de entrar

Y cuando salgas no sabrás que te quedas. »

L’Amour et le stress

Dans les tunnels de Bruxelles

Religiosité

« Je ne sais pas ce que je fais ici » et… cette pensée me rassérène : enfin arrivé !

M exique en avril

Romain qui parle de son bébé (il lui change sa couche dans le coin d’une fête) : « J’suis content parce qu’il est — tu vas voir — relativement bien monté. » Mais Romain ! tous les bébés… Evidemment, voir un bébé dans une journée — celui de Perle, celui de Romain… — est la pensée la plus douce qui vient naturellement avant de s’endormir : le monde est un agneau. Aujourd’hui je vais voir (essayer, il y aura peut-être trop la queue) l’exposition de Francisco de Zurbarán, au Bozar...

D it-elle

« Ce qu’il faut détruire dans l’homme, c’est sa propension à croire, son appétit de puissance, sa faculté monstrueuse d’espérer, sa hantise d’un dieu. »